CONVALESCENCE

Pendant ces quelques jours de semi-grippe, je n’étais pas à l’article de la mort mais tout de même un peu trop atteint pour entreprendre quoi que ce soit d’un peu consistant. Alors j’ai regardé des films, un peu au hasard. Hier In good company, petite comédie américaine de Paul Weitz avec Dennis Quaid, Scarlett Johansson et Topher Grace (le jeune Forman de « That seventies show »)… Je ne sais pas pourquoi mais Dennis Quaid m’émeut toujours beaucoup… Puis White Noise de Geoffrey Sax, une sorte de thriller fantastique un peu mou et archi prévisible que je ne regarde que d’un oeil, puis Sideways d’Alexander Payne, road movie doux amer avec deux copains dont l’un doit se marier au bout d’une semaine de virée dans les vignobles californiens à boire du pinot noir et à jouer au golf. Enfin, regardé mais pas jusqu’au bout, parce que c’est tout de même vraiment trop mauvais, Alien vs Predator et je crois que je ne veux même pas savoir de qui c’est. De personne, en fait…

Aujourd’hui, c’est le dernier lundi avant les vacances et le premier cours avec le deuxième groupe de première année à Tourcoing. J’aime bien les premières fois. J’ai gravé des CD pour P.S. et préparé les affaires. Imprimé mon billet de train. Ah oui, j’ai aussi fait pas mal d’ordre sur les disques durs et terminé le Communication tourné avec A.P. au printemps.

J’hésite à me préparer des gamelles parce que la dernière fois de la vinaigrette s’était répandue dans le sac et avait endommagé une cassette DV. Je trouve que c’est un peu risqué. Y. est à Clermont et son film a été projeté hier soir devant 1200 personnes. Ca change des salles de 12 personnes. Elle vient de m’appeler à la sortie de sa conférence de presse. 

A PEINE PARTI, REVENU… A PEINE REVENU, PARTI…

Il a fait presque beau pendant deux minutes. Puis les nuages sont revenus.
Ca va un peu mieux. Encore enrhumé. Je ne pouvais rien faire de bon, hier. Trop abruti pour travailler. Alors j’ai regardé « Birth » de Jonathan Glazer et « The forgotten » (« mémoire effacée ») de Joseph Ruben. Malheureusement, tous les deux en VF. Et lu un peu les notes de Boulgakov qui m’ont fait penser à « La jeune fille au carton à chapeau » de Boris Barnet. Bien dormi, avec France-cul en bande son.

J’ai envie de me remettre un peu au montage et puis il faut que je prépare mes plans de bataille pour montrer un peu tous ces films, les inscrire dans des festivals, etc… Et il faut aussi que je me mette à écrire un peu… Qu’est-ce que je suis mal assis dans ce fauteuil ! Je vais prendre une chaise plutôt. J’ai mis des haricots rouges à tremper, à tout hasard. Je ne sais pas encore ce que je vais faire avec.

Quand même assez gonflé « Birth », c’est vrai: un petit garçon est le mari défunt de Nicole Kidman, qui revient pour l’empêcher d’épouser un autre homme. Mais j’ai des problèmes avec l’excessive conscience de soi de Nicole Kidman. Celà dit, la VF y est peut-être aussi pour quelque-chose et me rend peut-être plus attentif aux intentions de jeu ?

Bon. Je me refais un thé et au travail.

AU LIT, MARIN !

Ce matin, à cause d’un colis suspect, le trafic était interrompu en direction de Porte de Clignancourt. Je suis rentré à pied de chez Y. sous la pluie. Trempé jusqu’à l’os. Je gèle, mets les affaires à sécher, une machine à laver en route et hop au lit avec Boulgakov. Pas le courage de ressortir. J’hésite à annuler le théâtre ce soir. Je verrai en fin d’après-midi comment ça va.
Pour l’instant glagla et légère fièvre. Je me fais réchauffer un peu de daube avec des pâtes.

Y. a préparé ses affaires pour Clermont. heureusement que je transportais ce sac: j’ai pu y mettre les appareils à l’abri, parce que ma veste, elle, était absolument détrempée.
Vais essayer de me remettre au montage du blog Chine, pas mal avancé hier.

Sinon, hier soir délicieux dîner avec P.R. et E.B. Soupe vietnamienne crevette gingembre et foie sauté au canard, crevettes et brocoli. 
Pas le courage d’écrire plus pour l’instant: pieds gelés. Je retourne me coucher.

PAUVRE VOILÀ…

Encore un fois, Voilà ne comprend rien… C’est un peu comme France Télécom. Bon… Donc reçu ça ce matin:

Bonnjour (sic),

Votre site n’est pas conforme aux conditions générales d’utilisation des Pages Perso de Voilà : nous l’avons donc suspendu temporairement ; il n’est plus visible sur internet.

Pour assurer une qualité de service maximale à chacun (et pour des raisons
de sécurité), nous avons volontairement limité le poids total de données
téléchargées par jour et par site (chaque fois qu’un visiteur vient sur
votre site, il télécharge des données : html, images, sons, et autres fichiers).

Votre site a été suspendu car ce poids total autorisé par jour a été
dépassé.

Si votre site propose des fichiers mp3, divx, de jeux… en
téléchargement, vous devez les supprimer.

Vous pouvez retrouver les conditions d’utilisation du service sur
http://monsite.voila.fr/ftpweb/divers/conditions_2.html

NB : Si votre site n’a pas pour objet de proposer des fichiers mp3, divx,
de jeux… en téléchargement, et que vous désirez que le poids total
autorisé par jour de votre site soit augmenté, nous vous prions d’envoyer un mail à
l’adresse suivante : moderation@voila.net

Vous en souhaitant bonne réception.

Cordialement,

L’équipe de modération des pages perso.

Normalement ça ne devrait pas empêcher le FTP de fonctionner mais il faut voir. Et au besoin écrire à l’équipe de modération.

LITTERALITÉ

Pas de blog hier. Les batteries de l’appareil photo se déchargent de plus en plus rapidement et elles étaient en charge toute la journée. Et aussi, il fait froid. J’agis lentement. 
Ai commencé une nouvelle bande son pour les images de Chine. Mais le synthétiseur vocal que j’utilise ne m’autorise qu’un certain nombre d’entrées par jour ce qui m’impose un rythme contraignant. Je ne suis pas contre. Je ferai autre-chose (les sous-titres de Polyeucte, les enregistrements de l’ACR, d’autres projets, etc…) quand j’aurai atteint mon quota pour la journée.

Hier soir, N. et D. sont venus dîner et nous avons (en tout cas j’ai) trop mangé. Une bonne daube (pas de macreuse chez le boucher, je l’ai remplacée par du paleron) selon la recette de P. transmise par les L.
Et puis j’avais aussi acheté de la galette des rois, parce que c’était la dernière et que nous sommes gourmands. Et puis, il fait froid. Mais j’ai trop mangé, beaucoup trop mangé… Aujourd’hui, maigre… Aujourd’hui un petit bouillon maigre. D. a une nouvelle coiffure. Je lui ai dit qu’il ressemblait à David Byrne et ça lui a fait plaisir parce que la dernière personne qui lui avait parlé de ses cheveux l’avait comparé à Dick Rivers.

Ca ne s’est pas vu -il faisait nuit, les rideaux étaient tirés – mais j’avais lavé les vitres et fait le ménage en grand, avec lessivage du sol, etc… J’ai vu qu’il y avait un cafard dans le piège. Donc, ça marche. mais j’avais oublié d’acheter Gala pour que N. nous lise l’horoscope. Je ne suis pas arrivé à lire Libé hier: tous les ans c’est pareil, le numéro spécial Angoulême, je ne peux pas le lire. Les illustrations me découragent. Je le saurai. Je n’achèterai pas le prochain.

Ce matin, reçu en trois exemplaires un gentil e mail de P.Z. qui a regardé Polyeucte hier. Compte rendu de projection. Et F. a fait une nouvelle entrée dans son blog danse. Je vais lire ça avant de me mettre au travail. Et à l’instant coup de fil de ma mère qui me propose d’aller manger une assiette grecque à midi. D’accord mais je prendrai une assiette végétarienne.

Et je vais me refaire un thé vert, tout en lisant les blogs du matin.
Ah oui, et il faut aller écouter les morceaux et regarder les films de H.K. et W.K., élèves de Tourcoing. Je suis fier d’eux: ils se sont mis à poster pas mal de trucs intéressants dernièrement.

FOX IN THE SNOW

Il ne fait pas si froid et il neige ce matin. Mais il paraît qu’il neige aussi à Paris et même plus qu’ici.
Encore un peu vaseux de trop de vin hier soir à la pizzeria de la place Sebastopol (oui, maintenant je me souviens y être déjà allé et même y avoir déjà demandé s’il y avait une guitare et non il n’y en avait pas).
Les bilans ont duré jusqu’à 19h30 hier soir et aujourd’hui, réunion pédagogique prévue jusqu’à 17h30 ou 18h. J’espère que les trains ne seront pas perturbés par la neige ?

Ai laissé la télé allumée une bonne partie de la nuit avec Shoah en bande son. Mais je faisais trop de cauchemars alors j’ai éteint vers 2h30. Le pire c’était la lecture des documents techniques concernant la conception des camions destinés à gazer les déportés (« la marchandise ») et comment « la marchandise » a tendance à se tasser vers les portes, ce qui évite les surcharges à l’avant. Et aussi comment « la marchandise » a tendance à crier si l’on éteint les lumières, raison pour laquelle, bien que les lumières ne paraissent pas utiles, il est prudent de les conserver… Et aussi la densité: 9 personnes par mètre carré. Et les écoulements de liquides et de grosses salissures. Et les procédures de nettoyage.

Annonce micro (à l’instant): « Si vous passez par la caféteria, souhaitez un bon anniversaire à Marie-Thérèse s’il vous plaît… »

LES TRAVAUX ET LES JOURS

Il neige. Il a neigé sur le Nord. Les rails sont blancs. Bleus dans l’aube.
Suis parti plus tôt ce matin (train de 6h58) pour remplir les bulletins avant les réunions de bilan.
Froid sec et plutôt agréable. Vivifiant.
Il me reste encore un heure avant le début de la réunion, ce qui me laisse le temps de faire mes e mails et de poster cette note.

Hier, journée plutôt laborieuse. Avons enregistré avec Y. les textes de MIR, que j’ai du mal à joindre et il me reste à lui faire parvenir des extraits de la voix de Y. pour obtenir (ou non) son accord. Nous avons aussi installé des panneaux de polystyrène isolant dans les placards pour en finir avec les infiltrations et la condensation. Merci à ma mère pour la fourniture des panneaux. Pour l’instant, nous avons fini les placards du bas et nous nous occuperons de ceux du haut cette semaine.

Pour finir, nous avons monté le bonus track de Passing shot, intitulé Les jacinthes, en utilisant des chutes des rushes et un texte écrit par Y. Je trouve qu’elle devrait faire un vidéo blog aussi parce qu’elle aurait de la matière… Il ne lui manque qu’une barrette So-dimm de 512 Mo et un disque dur externe pour être parfaitement autonome. Voilà le soleil, qui va faire fondre la neige.

REMAKE OF THE WEEK END

Donc, ce matin, après une bambochade pas trop tardive (nous nous couchons avant le dernier métro) mais quelques bouteilles assassinées, comme dirait H.D., dont une grande partie d’un délicieux Montagne Saint-Emilion (ou était-ce un Lalande de Pomerol ?) 1988 répandu sur mon pantalon et ma chemise en essayant d’imiter Johny Halliday, après cette bambochade, donc, je dois me lever tôt pour passer rue Poulet prendre mes affaires et partir pour Garches refaire l’enregistrement de P.Z.

Il fait toujours tiède et il y a un coin de ciel bleu. Cela suffit à me mettre de bonne humeur et nous papotons joyeusement avec le chauffeur de taxi qui m’emmène à la gare Saint Lazare. Il est question de régime alimentaire (il boit coca sur coca), du nombre invraissemblable de pharmacies (selon lui il y en aurait à peu près une par habitant, soit 60 millions en France) et de diverses autres choses que j’ai oubliées.

Dans le train, je filme le paysage mais j’ai raté le cimetierre que je voulais filmer parce qu’à ce moment-llà j’avais oublié que je voulais le filmer et je lisais un livre. Le choix d’une fiancée de Hoffman pour ceux qui veulent savoir. Il faut cinq minutes pour rejoindre Garches et j’attends P.Z. sur la petite place à côté du Franprix mais comme il a compris que c’était celle du Super-U il met un moment à arriver.

Je n’ai plus confiance dans le DAT alors j’ai carrément pris le Powerbook et la Mbox et j’enregistre directement sur le disque dur. Tout va très vite puisque nous avions déjà répété la semaine dernière. Un petit salé aux lentilles plus tard, nous sommes prêts à remballer. P.Z. me raccompagne à la gare de Saint-Cloud, à peu près équidistante de celle de Garches par rapport à chez lui. Nous prenons le train ensemble. Lui va visiter ses parents. Et voilà. Plus que ma voix et celle de MIR (interprétée par Y.). Ah et aussi je me suis rendu compte que j’ai oublié de faire lire à L.T. un des textes de C. de Z. Il y a du retake dans l’air…

Au courrier, il y a le dernier numéro de SVM Mac avec mon article sur l’étalonnage dans i-movie à l’intérieur. Je me rends compte que les images sont très sombres. Ca m’embête un peu: j’aurais dû les éclaircir dans photoshop avant d’envoyer. Hmm…

POST SCRIPTUM

Il n’y a pas de substantif associé à l’adjectif « sain(e) ». A la rigueur on peut utiliser (mais le sens n’est pas exactement le même) le synonyme « salubrité ». Mais je propose, pour ma part, d’introduire le mot « sanité ». On parle bien d' »insanité », non ? Par ailleurs, l’adjectif « sociétal » n’existe pas et me paraît inutile. Et quand bien même il existerait, quel besoin de lui donner pour pluriel « sociétals » au lieu de « sociétaux », l’usage ayant depuis longtemps établi le pluriel en « aux » comme la loi générale et le pluriel en « als » comme l’exception. Merci à L.T. pour ses pertinentes observations et à P.Z. pour s’être interrompu pendant son repas pour aller chercher le dictionnaire.

SUCH A PERFECT DAY

Bien dormi cette nuit et nous nous sommes levés tard. Il fait beau. Je passe prendre des affaires rue Poulet et retrouve Y. au Jeu de Paume. Nous visitons l’expo des photos de Rineke Dijkstra. Ce que je préfère ce sont les photos de militaires et de jeunes filles dans les bois. Comme d’habitude je suis irrité par le discours des artistes sur leur travail (films en boucle dans le foyer). C’est humiliant. Plus un artiste est mauvais, mieux il parle de son travail. C’est à dire qu’on a envie de lui flanquer une paire de giffles, comme à ce photographe allemand dont j’ai oublié le nom. La pauvre Rineke Djikstra n’y coupe pas d’ailleurs. N’y-a-t-il donc plus aucune pensée critique indépendante pour que tout discours sur l’art doive être produit par les artistes eux-mêmes ? Qui pense et écrit de manière autonome, désintéressée sur l’art sans être forcément de la partie ? Qui sont les esthètes ? Surtout ne répondez pas: Alain Fleisher…

Dehors, la lumière est aigüe et le vent vivifiant. Il y a des mouettes autour de la pièce d’eau du jardin des Tuileries. tellement qu’on se croirait presque dans un remake de The birds et c’est à la limite d’être effrayant. d’ailleurs les enfants hurlent lorsque les oiseaux leurs volent dans les plumes. Malheureusement, à ce moment précis les piles de l’appareil photo me lâchent et je ne puis filmer la scène. Pas sûr qu’elle se reproduise identique un autre jour. Toujours avoir sur soi des piles de rechange.

Nous passons un moment dans la galerie Richelieu à regarder des retables du XVème siècle et nous étonnons devant ces visages étonnamment contemporains, certaines attitudes, certaines postures corporelles.
Toute la collection de l’atelier Clouet ressemble à un étrange studio Harcourt.
En revanche nous passons très vite sur la Renaissance tardive et remettons à un autre jour l’autre côté de la galerie, nous promettant de lire quelques bouquins avant d’y aller, l’aventure étant plus amusante avec quelques repères.

Déjeûner à la maison (pain, fromage, vin, salade) puis nous ressortons pour continuer la, visite des expos du Jeu de Paume avec les photos de Stephen Shore à l’hôtel Sully. Pas mal mais pas non plus de quoi se relever la nuit. Etrange tout de même cette lumière américaine. La même depuis les illustrations de Norman Rockwell… Cette blancheur diffuse qui semble comme arrondir les formes, violenter les contrastes tout en désaturant les couleurs. Hmm…
Puis courses pour le dîner. Nous avons invité U., J., une amie d’Y. que je ne connais pas et E.C.
Ah, il faut que j’aille ouvrir du vin.

ROARING EIGHTIES

Hier soir, G. téléchargeait les Talking Heads (un morceau de Remain in light). Première capsule à remonter le temps. Ce matin, je vois que W.K. a posté dans son blog Eyes without a face de Billy Idol. Deuxième capsule. C’est curieux. Elles reviennent les années 80 ? Elles me paraissaient tellement molles et de mauvais goût lorsque nous y étions… Un peu comme les années 60 pour mes parents. Sauf qu’eux ne les trouvaient pas forcément laides et tristes, les années 60. Moi si, parce que je déteste le yé-yé-yé.

Maintenant, je me dis que les années 60 c’était aussi les Rolling Stones, les Beatles et la Factory. Donc elles n’étaient pas si vides que ça. Et il y avait encore du cinéma.

Bon, je me refais un thé et je vais faire quelques courses avant l’arrivée de L.T. pour enregistrer les textes de C. de Z. Il y a des travaux dans la rue. J’espère que ça ne couvrira pas tout. L’air est tiède et le ciel blême. Nous sommes faits, constitués de volcans (à la radio ce matin), de volcans et de météorites.

PHP

Je me casse la tête depuis plus d’une heure à essayer de comprendre comment forcer le téléchargement d’un fichier (pour vidéo archive). Je récolte des tas de codes php que j’essaye de mettre en application et rien… Bref, pas moyen de faire en sorte qu’on puisse télécharger les fichiers avec le gestionnaire de téléchargement des navigateurs. Si quelqu’un lit ces lignes et a la bonté de m’expliquer comment faire…

Passé la journée à mixer avec H.D. Nous n’avons pas encore fini Works and days mais ça avance et nous nous sommes préparé un bon déjeuner blé-ratatouille. Nous avons aussi refait l’interview ornithologique de l’âne et je ne lui ai pas encore passé L’ivrogne dans la brousse parce qu’il faut que je finisse de le lire ! Puis je suis allé chez les L. aider G. à paramétrer son firewall pour qu’il puisse utiliser Limewire et nous avons fait un délicieux dîner avec gratin de chou-fleur, salade de topinambours et glace caramel-beurre salé. Me suis éclipsé tôt pour travailler un peu avant de me coucher.

Vernissage de H.F. à l’AFAA ce soir, mais personne n’est invité. C’est secret et nous ne sommes pas au courant. De toute façon, il faut que je travaille. Les semaines sont trop courtes. Du mal à m’organiser. Toujours pas fixé sur le type d’activités physiques le plus adéquat. Yoga? Salle de gym ? Hmm… 
Il faut que je réécrive mon texte pour présenter l’ACR, le premier ayant été jugé trop factuel. Il faut que je me creuse la tête. En dix lignes.

Vu Closer en Divx dimanche soir, j’avais oublié d’en parler parce que ce n’est pas fameux. H.D. fait tellement de retape à l’Opéra de Pékin que j’ai assez envie d’y aller. Mais beaucoup de choses à faire cette semaine. Je ne sais pas si nous aurons le temps.