PLUIE SUR PEKIN

Atterrissage ce matin à 5h40. Il a fallu s’y reprendre à deux fois, le trafic étant trop important sur la piste.
Et sur l’autoroute, c’est encore pire. Pare-choc contre pare-choc pratiquement tout le long, de l’aéroport à Chaoyang.
On met du temps à trouver l’hôtel, malgré le GPS et il faut finalement, comme d’habitude, les appeler pour se faire indiquer par téléphone le chemin à prendre.
Maintenant, les compagnies de téléphone portable ont pris l’heureuse initiative d’installer des petits stands dans la salle d’arrivée même de l’aéroport où ils proposent des abonnements instantanés. J’ai servi d’interprète à un russe. Difficile après une courte nuit de passer du russe au chinois mais j’ai réussi à me débrouiller. Et me suis acheté une carte SIM chinoise pour 150 yuans (environ 18 euros au cours actuel).
Il pleut, il ne fait pas chaud. Ni froid, d’ailleurs. Il pleut, il y a du vent. C’est gris et embouteillé. Tout le monde travaille aujourd’hui.
Une douche et au lit jusqu’à midi, puis batterie de coups de fils.
On convient avec C. de se retrouver à 20h dans un bar de Sanlitun.
Je vais aller me balader mais vu le temps je ne suis pas pressé de sortir.