
Pour commencer, j’étais allé faire de la gym, mon emploi du temps chargé cette semaine m’ayant empêché d’être aussi assidu que je l’aurais souhaité.
Cardio, circuit dos, jambes et gainage.
Et ça va tout de suite mieux.
Demain, la suite.
Rentré vers midi trente à la maison.
deux trois courses pour remplir le frigo.
Onglet-courgette.
Un verre de blanc et deux rondelles de saucisson.
Après le déjeuner, on part avec C. faire un saut au studio.
C’est beau.
Le plancher est posé, l’ossature interne a bien avancé. M. a commencé à poser les laines de roche. G. a fabriqué un caisson pour le vidéo-projecteur. Y. a prévu les aérations.
G. a posé des plaques de bois pour recevoir les lampes, les prises, etc.
Ca se dessine vraiment.
Ca devient réel.
On reste juste un moment puis on va s’acheter des petits gâteaux que l’on va manger au bar des Indécis. Ensuite, on rentre à la maison avant de repartir une heure plus tard pour la place d’Italie. C. voulait voir ses cousins, alors je la dépose puis je rejoins P. à Crimée, c’est à dire à l’autre bout de la ligne 7.
Quand je raconte à ma sœur mon idée pour le nom du studio (Adansonia Digitata Studio), elle me rappelle que l’été dernier j’avais fait un rêve dans lequel j’appartenais à un groupe qui avait un nom super mais elle ne s’en souvient plus et moi non plus. Damn.
On va manger des trucs délicieux dans un restaurant au bord du canal. On boit du blanc et je suis vite pompette. P. aussi. On marche le long du canal jusqu’à Stalingrad et retour jusqu’à chez P. Je dois pisser toutes les quinze minutes. L’effet diurétique du thé vert bu dans l’après midi, plus le vin, plus l’âge sans doute. Misère.
Je raccompagne P. chez lui. Dernier pissou puis je trace jusqu’à Gare de l’Est où je choppe un vélib direction maison. Pendant tout ce temps, échanges agréables avec V. On trinque à distance. Rentré. Un peu d’ordi et dodo.