PRESQUE RIEN

C’était une des statuettes de Wu Xiaohai qui m’avait intrigué l’autre jour, chez Patricia Dorfmann. Cette double-langue qui se tire elle-même à hue et à dia.
Quand on ne sait pas si l’on aime ou si l’on n’aime pas, c’est bon signe, comme chacun sait.
Y. est rentrée hier soir vers 20h50.
On avait mangé des gnocchis et il en restait un peu.
Ce matin, réveil vers 7h30.
La crapette nous mène jusque vers 8h30 et C. n’en finit pas de ne pas terminer ses gaufres.
Elle a pris du Champomy dès le matin, la pauvre enfant.
En bas on croise les S.

On fait un bout de route dans le froid avec M.
J’ai mon bonnet et mon écharpe.
Ayant déposé C., je continue tout droit jusqu’au club de gym.
Quarante-cinq minutes de cardio, le circuit spécial dos et quinze minutes d’exercices de jambes et il est bientôt onze heures.
Déjeuner sommaire et je passe au centre des impôts du XVIIIe, récupérer un exemplaire de ma lettre d’option pour la TVA mais je m’aperçois, une fois arrivé, que le centre est fermé le jeudi après-midi.
Je rentre à pied, en passant par Star’s Music, où j’achète une iLok 3 pour la licence Protools.
Une glace au yoghourt et aux fruits en arrivant, pour me remettre.
Quelques courriers, des virements, des opérations bancaires.

J’organise le rapatriement de cartons demain. L. prête sa voiture.

Une journée où il se passe peu et où je marche beaucoup.
Ca arrive.
À 18h, je vais chercher C., qui sort du ping-pong. On passe faire trois courses chez Bio c’est bon. En rentrant, je mets à cuire les épis de maïs pour C. et Y.
Je vais me faire une boîte de thon avec du piment et ça ira bien.
Jetons un œil sur les programmes de cinéma.

Pas eu le temps de faire un saut sur le chantier mais je verrai ça demain.

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