Impressions mitigées de l’aéroport d’Athènes. D’un côté on nous offre 45 minutes de Wifi gratuites, de l’autre il y a un insecte écrasé dans ma part de cake à l’orange.
C’est un vrai « duty free » à l’ancienne, où l’on peut acheter des parfums et des fringues hors de prix. Il faut montrer son boarding pass pour y accéder.
Le car est passé nous prendre à 4h00 du matin.
On était restés à boire des bières jusque vers 3h00 du matin à l’Agora, avec J.J. et M.X., puis on repasse prendre nos affaires et hop.
Magnifique levé de soleil sur l’autoroute. Ecouté Piano Solo de Gonzalez en boucle. Pas de problème. Nous arrivons à l’aéroport à 7h00 du matin.
Les espagnoles font les idiotes dans les caddies.
Un peu de Tai Qi dans les allées, au risque d’être happé au passage par un chariot.
Il y a des magasins d’alimentation compliqués et déserts qui ont pourtant l’air formidables mais il faut un mode d’emploi pour comprendre comment se servir, à qui s’adresser et où payer. Alors on se rabat sur une sorte d’équivalent Starbuck quelconque, mais plutôt correct.
Et là, si on prend un jus d’orange, ce ne sont pas moins de douze fruits qui y passent.
Acheté Libé. Cahier vacances. Boîte à bébés à Anvers.
Secte de narco trafiquants à Mexico (la Familia).
Je commence à me sentir cotonneux.
Maintenant la question: est-ce que l’avion va être à l’heure cette fois ?
La dernière fois, on avait tout de même gagné un billet gratuit.