POUR QUE TU NE SOIS PAS TRISTE

Hier, pas grand chose. Quelques courses. Travail sur Pixelmator pour un article à écrire aujourd’hui. Cardio fitness en milieu d’après-midi. C’est la meilleure heure, en fait. Le matin, c’est une erreur. Ou bien c’est trop tôt ou bien on tombe dans un creux biorythmique… 
Mis en ligne un certain nombre de films pour 在别处. 
L. et sa copine NN. sont venus dîner. On a été couverts de cadeaux. 
Il faudra que je fasse une photo de la nappe offerte par NN., avec les petites roses en relief… 
Et hop, c’est fait.

Il y a aussi les serviettes assorties, bien sûr. Je ne sais pas de quoi ça aura l’air une fois passé à la machine mais hier soir c’était magnifique, avec les bougies.
Il faut que je me mette à cet article maintenant. Et puis préparer la semaine avec un Tourcoing-Paris-Biarritz bien frappé. 
Hum…pas très claire cette histoire d’écuries d’Augias et de pari sur les 12 taureaux… Le premier et dernier serment qu’il fit jamais… Oui, oui, lu ça ce matin…Comme ça… période mythologique (peut-être depuis l’Orestie africaine de Pasolini).
J’étais allé chercher le soleil et j’ai fait quelques tours dans le quartier. Me suis assis à plusieurs terrasses avant de trouver la bonne, rue des Archives, à l’angle de la rue des Blancs Manteaux. Les nuages moutonnent en altitude. 
Regardé le prix des appartements. Ce n’est pas raisonnable.
Allez…

POUR QUE TU N’AIES PAS TOUT OUBLIÉ

Levé 8h30. De la pluie d’abord, puis de plus en plus beau comme la journée avance.
Biscuits noisettes et miel avec du thé.
Révisé le chinois et fait mes exercices.
N. est arrivée à 11h. Nous travaillons jusqu’à 12h30 puis sortons grignoter un morceau au restaurant de la rue Volta avant de revenir faire les traductions des derniers films de R. Enfin, au moins le premier avec cet étudiant de la région du Xin Jiang.
Travail jusque vers 18h.
Partons à pied avec Y. pour un bar de la rue d’Aligre où nous rejoignons F. pour un film portugais, hélas raté (et long) mais comme nous avions vu un très beau film roumain en début de semaine chez Varan, ça équilibre. Et puis ce bar associatif de la rue Aligre c’est un lieu possible pour projeter des films. Sauf qu’il faut le faire quand il fait nuit à cause d’une lumière zénithale difficile à obturer et que les chaises c’est raide.
Hier matin Wolverine, débile mais beau. J’aimerais passer 48h non stop au cinéma mais là je n’ai vraiment pas le temps. La musique me prend un temps fou.
Et dormir me prend un temps fou aussi. J’ai à peine le temps d’aller faire de la gym et je suis tout de suite épuisé. Lessivé. 
Il y avait un moustique sur le mur au retour, ce soir mais il s’est caché derrière les appliques de l’entrée, le bougre.
Profusion d’aphtes. Ne pouvais pas parler avant hier. Fatigue et migraines aussi.