Hier, j’avais l’impression d’aller mieux en embarquant dans le TGV pour Tourcoing. Avec ce soleil printanier, comment pouvait-on se sentir malade ? C’était une séance agréable avec les élèves de deuxième année. Doit on dire « une séance » ? Un cours serait plus adéquat. Un bon cours donc. Enfin, en tous cas j’étais content.
Personne au cours collectif avec M.C. Parfait: nous sortons prendre une bière près de l’église avant d’attraper le métro. Je rejoins O. et L. et nous allons dîner dans un restaurant italien, avant de tous nous remettre au travail, chacun bien sagement devant son écran.
Mais au moment de me coucher, voilà que je tousse. Je tousse, je tousse, je tousse, je tousse, je tousse, je tousse… Comme ça toute la nuit. Rien n’y fait. Moyennant quoi ce matin, je me porte pâle et rentre par le premier train.
Repos et rangements rue Poulet.
Je décide de rendre la webcam à Mac Way et la table de mixage à Effects Center. Mails et tractations.
Je passe chez le médecin, qui me donne des antibiotiques.
Tout en préparant des pommes de terre sautées à l’ail, avec une somptueuse côte de boeuf achetée cet après midi par Y., je termine la rédaction de mon article sur Adobe Photoshop Elements 6. Je sens la toux qui revient.
Misère…
Demain, essai de caméscopes dans les bureaux de SVM Mac.
JOUR DE LA SEMAINE
Réellement, oui, parfois le mieux c’est de ne rien faire. Ne pas sortir de la journée.
Se lever tôt, se faire un thé, tousser beaucoup (encore) et se mettre à écrire des articles et encore des articles. Faire une pause vers midi pour préparer une soupe au potiron.
Eplucher et couper en morceaux un quart de potiron, cinq pommes de terre.
Faire revenir doucement trois gros oignons dans de l’huile d’olive, ajouter deux gousses d’ail finement haché avant d’y jeter potiron et pommes de terre. Laisser suer un moment (le temps de faire la vaisselle du petit déjeuner) et rajouter de l’eau pas tout à fait jusqu’à ras bord. Un bouquet garni, deux Kub’or. Laisser cuire une vingtaine de minutes. Ajouter un peu d’aneth et de coriandre fraîches. Mixer. Râper un quart de noix muscade, poivrer, saler, une ou deux bonnes cuillerées à soupe de crème fraîche 15% de matière grasse. Bien mélanger et servir dans des bols.
Une clémentine et retour à l’ordinateur. C’est bien, il ne se passe rien. On a le temps. On réserve pour ce soir dans le restaurant chinois du boulevard de l’Hôpital dont nous ont parlé les S. J’essaye Photoshop Elements et c’est pas mal du tout. Tout est simple, on est conduit par la main par un assistant permanent: « voulez vous tout savoir sur les calques ? ». Et hop, on vous dit tout. Epatant.
Mais là, j’ai envie de faire une pause pour finir (enfin) le Paria des îles. J’avais proposé à Y. de sortir faire une promenade pour profiter du soleil mais non, finalement non, c’est bien mieux de rester enfermés et malades.
ENTRÉE SUPPRIMÉE
De retour avec une semaine, je me suis dit qu’il était ridicule de ma part de m’être énervé ainsi, que finalement, une semaine après j’étais assez d’accord avec ce K.B., qui a laissé un commentaire plutôt offensif et bien torché et bref que ce post était stupide, rédigé sous le coup de l’impulsion et donc je l’ai supprimé. Il me souhaite le pire ? Bon… Le pire est passé. J’en déduis que ce n’est pas pour moi ces trucs là. Et puis j’ai eu ce que je méritais: never explain, never complain… Il faudra s’y tenir.
Sinon, je dois dire à N.G. que malgré ce qu’avance P.C. (?) j’aurais été très fier d’avoir inventé C.Z. de toutes pièces mais qu’ hélas je n’ai pas ce genre de talent ou de patience et que C.Z. est bel et bien C.Z. et C.A. bel et bien C.A.
Ensuite, on verra bien.
Commentaire reçu ce jour là:
Je n’irai pas plus loin dans ce genre de suppositions.
L’abjection de ce qu’elles convoquent est vraiment à gerber. Oui je trouve ça immonde. Vous avez donc la possibilité d’accepter mes excuses.
Et pour ce qui est du cercle privé dans la sphère publique, la confusion des genres atteint des limites que je déteste.
Pour cette raison qui vous associe de fait à un taré pratiquant depuis longtemps les diffamations et l’injure publique sans bornes, vous vous êtes retrouvé victime de ma curiosité pour vos travaux.
Vous êtes bel et bien C.A. tant mieux.
Sachez toutefois que votre collègue pratique la menace physique comme dernier recours de sa prose contrariée et qu’il n’y a donc plus aucune raison pour qu’on s’y intéresse plus longtemps.
Vous avez ouvert la boîte de Pandore.
Ensuite, comme vous dites on verra.
Bon travail.
NG
TRABAJO SI SAMBA NO
Rhume et toux ce matin mais levé tôt parce que assez dormi comme ça et aussi que deux articles à écrire pour SVM Mac, qu’il faut passer chercher l’imperméable dans le 14ème, aller à la leçon de chinois, faire les courses, le ménage rue Poulet et commencer à faire de l’ordre. Il faudrait aussi bientôt en avoir fini avec Thérèse et s’installer à Saint Denis.
Mal dormi, évidemment, je me dis qu’après tout il n’avait pas tort l’autre, celui qui me souhaite le pire: c’est vrai qu’au lieu de me plaindre – des économes 0 – j’aurais pu discuter et que si je suis parti c’est parce que je n’avais pas envie de discuter et que donc je n’avais ensuite aucun droit de leur faire porter le chapeau. Tout ça est très juste, j’ai eu tort et c’est de moi-même que je devrais me plaindre. C’est un truc avec moi-même qui n’est pas clair. Il y a un problème dans la conception. Hum… C’est le signe qu’une réflexion s’impose, pour le moins. Arrêter les conneries serait salutaire.
Sinon, c’était délicieux de prendre l’air marin, mais bien trop court trois jours.
Ce serait mieux de respirer plus souvent et plus longuement.
Ça aiderait aussi à penser, certainement.
Finalement l’imperméable était trop petit. Je l’ai laissé.
Ce n’est qu’à l’instant que je termine la rédaction de l’exercice pratique consacré à ce logiciel de dessin vectoriel. Draw it. Hum…
La plante a pris un bain. Y. vient de la remettre en place.
On tousse. On crache. On se mouche.
Croisé les G. dans le métro en revenant de Porte d’Orléans, après le cours de chinois et être passé chercher l’imperméable que donc…
Tisane et au lit sans dormir.
DE MÉMOIRE DE PIXELS
Comme ça, par jeu, je suis retourné en arrière dans iPhoto, jusqu’en 2003, puis en février 2004. Premières photos numériques avec le téléphone portable.
Sinon, j’ai froid aux pieds parce que Y. vient d’ouvrir la fenêtre pour aérer et je viens de m’apercevoir que ma meilleure chemise est trouée à la manche gauche.
Journée passée à courir contre la montre, avec P.G.
D’abord, rendez vous rue Poulet à 9h00. Essais de détournement de télévision. Insoutenables galères de câbles et de branchements. Nous arrivons péniblement à intervenir sur le jounal de 13h. Ensuite, il faut encore résoudre des conflits de plein écran dans Arkaos, etc… P.G. a braqué la webcam sur la bouilloire une bonne partie de la journée et C.Z. reçoit des mails d’un type qui croit que je suis lui (ou qui croit qu’il est moi, je ne sais plus). Ha, ha, ha !
J’ai toujours aussi froid aux pieds ou plutôt j’ai de plus en plus froid aux pieds.
Je ne sais pas comment je vais m’organiser pour dormir ou ne pas dormir pendant les 48 heures de télévision non stop.
Bon, donc toutes nos histoires nous mènent jusque vers 16h00 – 16h30.
J’en profite pour dire que sur un point au moins Attali ne se trompe pas: on ne trouve plus de taxis à Paris. J’en ai appelé quinze et… rien. Pourtant il y en a plein à la station quand je descend finalement mais comme de toute façon ça ne circule pas, je préfère prendre le métro, même chargé comme un baudet (c’est le docteur qui va être content).
Arrivée à la ménagerie de verre juste à temps pour brancher la Freebox, donner un nom à la chaîne de télé, faire trois essais, ne pas arriver à faire fonctionner les free plugs, mais faire la connaissance de plein de gens et ensuite passer en coup de vent chez Cobra, le magasin de vidéo en face pour leur demander de me prêter un grand écran plasma pour retransmettre la télévision et ils sont vraiment adorables parce qu’ils me disent « oui, pas de problème, passez demain matin et demandez Mr. J. »
– Demain il fait aussi froid qu’aujourd’hui ?
– Plus froid, je crois…
– Oh là, là…
Se laver les dents, vite.
Dormir.
Demain tôt.
Tôt.
Ah, j’ai oublié d’aller chercher l’imperméable acheté sur eBay.
Pff…
jeudi:
croissants, pains au chocolat: 3,60 €
prolongateur, prises multiples, gaffer: 65,00 €
Commentaires reçus ce jour là:
Toutes ces suppositions sont vraiment excitantes.
Je vous prête la possibilité d’être d’une capacité de travail sans égale.
Chacun de vous se renvoie la « balle » d’une manière confondante. Grâce à l’un j’ai découvert le travail de l’autre. Cette collaboration vous rapproche d’un personnage bien noir. C’est un peu comme docteur Jek-ill et mister H(i)de. Je cherche CZ pour mettre un visage sur cet homme de l’ombre qui prétend qu’on veut lui casser les genoux.
Votre travail ne lui laisse plus beaucoup le choix.
Il va falloir qu’il sorte de sa tanière…
NG
Cher NG, vous devriez savoir que celui qui se cache derrière CdeZ n’est autre que C.A lui même, et qu’il pratique depuis de longues années ce travail de dédoublement de personnalité. Un ami de longue date l’ayant connu lorsqu’il vivait avec E.T me racontait ces jours ci la difficile cohabitation avec un monde qu’il déteste depuis de manière irréversible… PC
IN BETWEEN DAYS
Dans une petite fenêtre flottante du navigateur je regarde cette autre fenêtre, dans la nuit, celle de la rue Poulet où je ne suis pas passé aujourd’hui (et n’ai donc pu fournir la preuve que j’avais effectivement travaillé). Et aussi je viens de recevoir ça:
Rafle dans le 13ème arrondissement : ne laissons pas faire !
Vers 5h du matin, mardi 12 février, un important dispositif policier bouclait la rue Albert dans le 13ème ardt. Les policiers armés de tronçonneuses ont ensuite fait irruption dans un foyer de travailleurs migrants, 43 rue des Terres-aux-curés, en brisant toutes les portes des chambres minuscules. Agissant sur commission rogatoire, la police a procédé à plus d’une centaine d’interpellations ! D’abord enfermés dans les locaux de la Préfecture, rue Albert, les travailleurs migrants ont ensuite été répartis dans plusieurs commissariats.
Pourquoi ont-ils été arrêtés ? Les prétextes avancés par les « autorités » ont évolué tout au long de la matinée. Les conditions d’hygiène, de salubrité ? Des trafics ? C’est de la pure hypocrisie. La véritable raison de cette opération : arrêter des sans-papiers, véritables boucs émissaires de ce gouvernement.
104 personnes ont été arrêtées. Ce sont des travailleurs. Ce sont des parents qui font vivre leur famille, ici et au pays. L’économie de leur village repose sur eux.
Nous condamnons ces rafles abjectes
Nous encourageons tous les citoyens à s’y opposer
Nous exigeons la libération de tous les habitants du foyer
RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN !
mercredi 13 février à 17H30 devant le foyer (angle des rues Albert et des Terres-aux-curés), départ en manifestation à 18h
Bien que je trouve inutile d’arguer du fait que ce sont « des parents qui font vivre leur famille » ou que « l’économie de leur village repose sur eux », propos qui me paraissent teintés d’un certain paternalisme colonial, j’aurais bien aimé pouvoir me trouver là pour m’opposer effectivement à cette dégouttante opération. Mais je l’ai reçu trop tard. Hum…
A l’heure où cette manifestation démarrait, je me trouvais donc dans les locaux de Fin Avril pour faire un point avec E.D. et F.P. sur l’affaire Thérèse. Avant, j’avais travaillé rue Rambuteau, à préparer un article comparatif d’une dizaine de caméras vidéo HD pour SVM Mac et, bien sûr, à l’organisation de Télévision 0. Avant, encore, nous étions allés, avec Y., manger un Bo-Bun dans le petit restaurant cambodgien et avant encore, j’étais allé faire de la gym (cardio et spécial dos).
Je rentre à l’instant, après avoir fait des courses chez E.D. et m’apprête à écosser les haricots verts. Y. est sortie pour répondre à une interview.
Mail à l’instant (à propos de la manif):
« Pourtant je l’ai envoyé à 16h40… la manif était improvisée, j’ai moi-même reçu le message vers 15 h.
Oui j’y suis allée et j’en viens tout juste. Il y avait beaucoup de monde, et cela s’est terminé devant la mairie du 13e. Je pense qu’on n’a pas fini d’en entendre parler. »
Je vais écouter les nouvelles de 18h mais j’ai bien peur justement, qu’on ai déjà fini d’en entendre parler…. Enfin, d’après le site de France Culture il en est question dans le journal, c’est déjà ça.
[MAJ] Ouh là, là… Au cours de ma revue de presse, j’ai suivi ce lien de C.Z. vers un article du Monde, ce journal populiste d’extrême droite et je vous conseille de lire les commentaires que l’on trouve ici. Ca fait froid dans le dos…
mercredi:
croissant aux amandes, café: 3,20 €
déjeuner: 14,50 €
courses: 34,10 €
WEBCAM
Levé 7h00, lecture. Passage à la banque déposer un chèque.
Courriers, branchement webcam, recherche de matériels (disques durs, caméras) et lecture de bancs tests. Tentatives pour comprendre comment se servir de QuickTime Streaming Server. Les journées sont trop courtes, oui.
Vers 13H00, je sors déjeuner et dirige mes pas vers les magasins de musique de Pigalle. Je mange un menu numéro 26 dans un petit restaurant japonais en face de Home Studio. Ensuite je fais l’acquisition d’une petite table de mixage audio à 4 voies.
Passé la journée sous surveillance de la webcam, mais je suis déçu parce qu’elle n’est pas mobile comme je l’aurais aimée: elle doit rester raccordée au secteur.
C’est une petite caméra espion de la taille d’une pièce d’un euro que j’aurais du acheter mais il est trop tard pour vendredi.
J’ai fait un premier essai de diffusion cet après midi. Téléphoné à E.M. et avons tenté d’établir, sans y parvenir, une connexion ichat tout en diffusant sur le Freebox. Apparemment un problème de bande passante: il faudrait passer par un autre réseau pour ichat.
Ce qui est beau c’est de passer d’une caméra à l’autre avec la petite régie. Je ne m’en lasse pas. Des caméras, des micros, des gens qui parlent et se taisent, c’est tout ce que je demande. Bon, ça va être un marathon ce truc.
Après, on va prendre l’air (ça change, maintenant c’est l’île de Ré qui semble être la destination retenue) et en rentrant, de l’ordre là dedans (blogs et compagnie).
HERR PRODUKTOR
En écoutant, via les rediffusions internet de France Cul, l’émission de H.F.* linkée par C.Z. et en revenant à peine du petit restaurant tibétain où j’ai mangé une soupe aux pâtes rondes. Ce matin, réveil à 7h00 mais émergence plutôt vers 8h00. Quelques mails et lecture des journaux avant de prendre le métro direction rue Poulet.
D’abord un peu d’ordre, classer les papiers, payer les impôts, répondre à des courriers, passer des coups de téléphone. Tout cela, avec un peu de recherches pour l’organisation de Télévision 0 me mène jusque vers midi, heure à laquelle je sors poster quelques lettres et me rends à la poste pour aller chercher un nième recommandé de F.A.
La nouvelle poste n’est pas beaucoup plus rapide que l’ancienne mais elle est plus moderne: il y a des numéros d’attente et des panneaux lumineux où ceux ci s’affichent. J’ai le 152 orange (il y a trois couleurs, selon le type d’opération). Heureusement, j’ai pris un livre. Ca manque tout de même de chaises… Ensuite, déjeuner au restaurant chinois de la rue Ramey et retour à la maison. Installation de Leopard sur le G5, chat et recherches diverses. Passage de F.D., qui viendra lire la liste des courses samedi entre 12 et 14h, puis un peu de musique et je passe chez A.K., qui me prête sa régie vidéo et prévoit de passer vendredi ou samedi pour diffuser quelques strip teases mexicains. Entre temps, coup de fil d’O.C., qui va venir me donner un coup de main et embauche J.H. pour dimanche après-midi. En sortant de chez A.K., je passe chez Macway pour faire l’acquisition d’une webcam Wifi. Encore un passage rue Poulet pour poser et reprendre des affaires et je file chez U., non sans attraper sur le chemin un paquet de chips et des cacahuètes. Nous regardons ensemble la suite de l’improbable feuilleton neuilléen et U. a l’idée d’une émission politique avec T. de P. et une candidate du XVIème arrondissement. Vendredi vers 22h.
Hop, un coup de vélib jusqu’au restaurant où je rejoins Y.
Il faut absolument que je trouve une paire de chaussures convenables.
(*) Je coupe: l’émission de H.F. est tellement inaudible que j’en ai des douleurs dans le dos (dues à une digestion altérée).
lundi:
envoi colissimo: 7,20 €
déjeuner: 7,50 €
impôts: 586,00 €
webcam: 139,00 €
apéritifs: 3,60 €
CHEZ U. AVEC LA BARONNE
Ce qui est bien avec les dîners chez U. c’est qu’il a absolument l’art du dosage. On mange à satiété et même davantage et pourtant on se sent léger en partant. Ivre, mais pas à rouler par terre. Et donc hier c’était enfin la présentation officielle de la Baronne et de G-M. Chacun ayant à travailler le lendemain, nous rentrons plutôt tôt. Ce matin, à 8h30 j’ai sauté directement du lit dans mes chaussures direction la salle de gym.
Ensuite, déjeuner avec Y. et je passe prendre H.D. qui m’accompagne en voiture à Enghien où nous devons récupérer un escabeau en bois qu’Y. a acheté sur eBay.
Je me sens coupable d’entraîner H.D. dans les embouteillages parisiens alors quelle est en plein travail mais nous finissons tout de même par arriver et il fait beau.
J’ai aussi acheté un imperméable, un pull et une paire de chaussures et suis en train de surveiller d’un oeil un lot de 5 chemises tandis qu’Y. rafistole l’escabeau.
Préparation de Télévision 0. Il faut que je m’y mette avec méthode et d’arrache pied dès demain matin parce que pour l’instant ce sont surtout des manoeuvres d’approche. Maintenant il faut fixer un planning et s’assurer de tous les moyens techniques..
Je crois que les journées sont vraiment trop courtes.
Et il faudrait refuser toute invitation d’ici au mois de mars. Nous ne sommes encore sûrs de rien en ce qui concerne la semaine du 18 au 24.
RENFROGNÉ
Je râle.
Je me plains. Je ne suis pas content de la soupe. Pas content de la manière dont sont coupés les poireaux. Gna gna gna gna gna. Le type qui râle. Pff… Nul.
Qu’est-ce que j’ai ? Hein, non mais quoi ? Hein ?
Marre. Marre.
Bon, ouf, les vacances, ouf.
Besoin de respirer.
Alors, on termine Thérèse, on fait cette télévision 0 (des précisions demain, promis), on organise tout et on part respirer une semaine dans le sud.
Besoin d’air et de chaleur.
Marre d’être malade et d’avoir froid.
Donc demain, à partir de demain ça reprend.
La santé, la gym, la forme, le travail.
Ca tombe bien, il y a plein d’italiennes qui se battent pour venir faire des stages de montage chez moi, au point que je suis obligé d’en refuser. Il va bien falloir que je me remette au travail.
Là, sinon, c’est une photo de la plage de Bayonne retrouvée dans le téléphone et mise là parce que justement on s’est dit, avec Y. qu’on partirait bien à Bordeaux, de là passage à Bayonne, peut être un peu d’Espagne et ensuite Pau, passer voir les amis, s’ils sont là.
Hier soir dîner de nouvel an chinois par anticipation chez K.X. avec J-F. et W.Z.
Soupe, grenouilles et gâteaux de riz au sésame et au chocolat.
Le rhume n’en finit pas mais ne sont-ce pas déjà les allergies qui reprennent ?
Ce matin presque personne. Cours devant des salles à moitié vides.
Cette après midi promenades entre deux pluies. Apprécié les dessins d’O.L., qui voudrait en tirer des photos. Il faudrait que je finisse par voir enfin Apportez moi la tête d’Alfredo Garcia (tiens je vais regarder sur K.G.). Rapport à la décapitation de Saint Jean Baptiste (un petit côté Judith et Holopherne et aussi je confonds avec l’apparition d’une tête dans Les voiles de Salomé de Gustave Moreau).
Me suis tiré plus tôt (17h30), malade et épuisé. Dormi tout le long, dans le métro, dans le train et encore dans le métro, jusqu’à la porte. Répondre un mail, un bain, la soupe, dodo. Et entre deux somnolences, Conrad, toujours.
Y. est allé faire plein de démarches pour moi, pour que je puisse déposer une plainte contre ces salauds de chez Woodbrass.com, qui m’ont vendu une guitare défectueuse et me laissent sans nouvelle. Je viens de compléter le dossier que je déposerai demain au tribunal d’instance.
C’est qu’elle est combative, Y.
Lundi
Billet de train: 19,50 €
Sandwich, eau: 6,20 €
Journal: 1,20 €
Vin, brosse à dents, jus de fruits: 17,50 €
Participation O. et L. (janvier): 80 €
Mardi
Déjeuner, café: 11, 50 €
Cafés: 2,40 €
Carnet de tickets Transpole: 10,50 €
Billet de train: 26,50 €