C’était un dimanche algeco®.
Comme tous les jours ces derniers temps, je n’arrive pas à me lever. J’ai évité de prendre des antihistaminiques aujourd’hui et demain matin je compte me lever tôt pour aller faire du sport. Là, je n’ai pas pu décoller avant 10 heures.
Contrairement à la veille, il y avait des RER sur la ligne B.
Pour le déroulement de la journée, voir le rapport d’activité.
Et pour la bande annonce du jour, c’est là en HD et là en définition standard.
Il faisait chaud ce soir.
Les yeux qui piquent.
Acheté encore un pantalon en lin.
Il me faut des t-shirts maintenant, des polos et des chemises légères.
Aujourd’hui, la veste c’était limite.
Rentré dans les clameurs des spectateurs du match de foot.
Patates douces et canard.
Y. a presque fini de ranger les livres dans la nouvelle bibliothèque. C’est beau.
FIN D’ANNÉE
Et voilà, c’était notre dernier cours de chinois avec L.N.
On a réussi à terminer le bouquin in extremis puis on est allés manger du boeuf frites à la goutte d’or et revenus boire des bières à la Chope.
Ca va me manquer ce rendez vous hebdomadaire et il va falloir que je reprenne les leçons en autodidacte, genre assimil etc…
A couteaux tirés avec C.Z., on n’échange plus que des e mails administratifs.
Finalement, c’est reposant. Bien que déprimant, d’un autre côté.
On va prendre l’air d’ici une dizaine de jours. Notamment, une petite semaine dans les Cévennes dans une bergerie sans électricité (et donc sans ordinateur, sans téléphone, etc) dont je me réjouis d’avance.
Avant ça, ce sera Saint Denis tous les jours bien sûr.
Acheté pas mal de chemises, un jean et des chaussures.
T. a installé la bibliothèque et Y. peut enfin ranger les livres au milieu desquels nous évoluons depuis des mois.
Pour fêter ça on est allés manger une soupe, de l’anguille et des raviolis au petit restaurant de Wenzhou. Nous y avons fait la connaissance d’une dame charmante, qui dînait avec sa fille et avons échangé nos coordonnées.
2h18 RUE JEANNE D’ARC
Soudain, dans le silence de la nuit.
– Polo !
…
– Polo ?
…
– Polo !
…
– Polo !
…
– Pol !
…
– Polo !
Etc, pendant dix minutes.
C’est pas folichon, mais on retourne en réunion.
A plus tard.
[MàJ] Arrivé à l’instant à Paris.
Eu Z.L. au téléphone: il passe me prendre et on va manger un morceau ensemble.
Les beaux arts de Paris lui ont fait repasser son diplôme, les chacals. Et il l’a donc re-eu.
Pff, quel cauchemar.
On a failli rester coincés sur le quai de la station TGV Nord Picardie, le train étant bloqué par des feux de talus, nous a-t-on dit.
C’était agréable, cette attente au soleil.
Revu P.M.-G., que je n’avais plus croisé depuis le tournage d’O.S. mais je l’ai reconnu tout de suite. Il travaille maintenant à Lille. On échange nos coordonnées.
Le train repart et voilà, nous y sommes.
J’ai faim, pourvu que L. ne mette pas trop de temps à venir.
TOMBÉ DE RIDEAU
Hier donc, après le jury de 4ème année et les commissions d’équivalences, une bière sur une terrasse ensoleillée face aux travaux permanents de la créative, j’ai pris le métro pour Lille, dans lequel je croise N., qui rentre chez elle.
Nous discutons tout le long du trajet et puisque nous descendons à la même station et dirigeons nos pas dans le même sens, je lui propose de venir boire un verre chez O.
De fil en anguille nous dînons tous ensemble.
L. a préparé un mélange audacieux de veau, d’anchois et de thon.
Il y a aussi du riz qui ne colle jamais.
La conversation porte sur les multiples catastrophes à venir et nous ne parvenons pas à la réorienter sur des sujets plus joyeux, malgré la tentative love bomb.
Et qu’en est-il de la bombe à neutron, par ailleurs ?
Bref, nous nous couchons tard et, voulant tirer le rideau, c’est la tringle que je fais tomber. Or, elle est accrochée à 3m50 de haut et je ne sais pas comment la hisser à une telle hauteur.
Ce matin, après avoir essayé de la raccrocher en vain, O. décide qu’il est temps de laver les rideaux.
Un autre café, voir le reflet dans la vitre du camion de pompiers de O. et filer vers les bilans.
PAS OUBLIER
Après l’A.G. des copropriétaires hier, ce sont maintenant les bilans et réunions de fin d’année à Tourcoing jusqu’à jeudi.
Pris le train de 6h58 ce matin.
Par erreur j’avais acheté deux billets et la guichetière de Lille Flandres refusait de me rembourser le billet en trop sous prétexte qu’il était composté (les billets sortent de la machine pré-compostés). Heureusement, je suis tombé sur le contrôleur du train, qui prenait son café au bistrot de la gare, lui ai fait certifier et tamponner mes billets et ai enfin obtenu le remboursement. Une journée qui semblait mal commencer commençait bien, en réalité.
LA MORT D’UN BALLON D’EAU CHAUDE
Ce serait un cliché de dire « trop mangé et trop bu hier soir chez H.D. » et d’abord ce ne serait pas vrai: nous avons excellemment bien mangé et bu un vin divin (un certain Pape Clément de 1996, je crois – que H.D. me corrige si je me trompe – laissé là par J.D.).
Un bon vin, ça ne laisse pas de traces et nous nous sommes réveillés frais comme des coquelicots sauvages.
T. a débarqué au beau milieu du cours de chinois, que nous avons du écourter d’une demi-heure parce qu’il nous a fallu nous rendre dare-dare chez Batkor pour acheter un nouveau ballon d’eau chaude, quelques éléments indispensables de plomberie, de la colle silicone et passer prendre les outils nécessaires à Asnières.
Nous sommes de retour vers 14h et avons la chance de trouver une place au milieu de la rue Poulet.
Je laisse T. déposer l’ancien ballon et vais manger un poulet au gingembre. Comme j’avais écris à C.Z. que je serai probablement dans l’incapacité de me rendre à Saint Denis cet après midi, en raison de travaux impromptus rue Poulet celui ci se fout de ma gueule en me répondant que je devrais faire passer mes problèmes de propriétaire au second plan. Emmanuel devra aller tout seul au rendez vous avec R.
Y. doit être sur le chemin de Genevilliers.
Un petit café et je m’en vais poursuivre la formation Illustrator + Motion.
MAPPY MAPPO TAGADA
Passé l’après-midi à apprendre à me servir d‘Illustrator et de Motion.
Maintenant j’ai envie d’une palette graphique.
Je me suis aussi offert une paire de chaussures dans la petite boutique du bas de la rue Poulet.
Y. est passée me prendre pour aller dîner chez H.
Ca sent la soupe par la fenêtre.
Demain, normalement, le beau-frère de N. doit passer pour changer le chauffe-eau. J’ai peur que ça ne perturbe le cours de chinois.
EN ENCODANT
Incroyable ce que ça se salit un clavier blanc d’iMac.
Il faudrait bientôt passer une de ces lingettes St Marc.
Pendant que ça calcule (conversion en flash et upload vers Vimeo), juste un petit récapitulatif.
Levé 8h30.
Rasage avec une nouvelle crème à raser. Curieux. Ca ne mousse pas mais ça hydrate bien et le rasoir glisse dessus. Mais il faut sans cesse rincer la lame à grande eau.
Etrange.
Nouvel après rasage aussi.
Pas de marques, pas de publicité.
Ah, ah, ah.
L’encodage est terminé: je l’envoie avec Fetch sur le FTP free.
Donc ce matin, j’en étais.
Vers 9h00 suis sorti pour aller faire de la gym.
Je devais retrouver M.F. à 11h à la sortie du club mais comme j’avais oublié mon téléphone rue Poulet (voir journée précédente), je n’ai pas eu le message qu’il m’a laissé à minuit pour me dire qu’il ne pourrait pas être là.
Donc, je l’attends 45 minutes pour des prunes, loupant du même coup mon bilan dos.
Hum, hum…
On va déjeuner au resto japonais d’en face avec Y. et on remonte un pot de peinture de la cave.
Passage rue Poulet: je récupère le téléphone, mais je viens de me rendre compte que j’ai encore oublié de redémarrer le frigo.
Re merde.
CERISES RESIDENCE TRAIN VESTE
– Quoi, quoi, quoi ? Un trou de 3 jours !
– Un trou de trois jours, ça alors ! Qu’ai-je fait ? Que n’ai-je fait ?
– C’était où ces cerises ?
– Ca c’est aujourd’hui, à Saint Denis, laissées par C.Z., qui les a eues d’une femme de l’atelier (je ne sais pas qui). Hop, une cerise. Miam.
– Bon, mais cette résidence ?
– Ah, ça c’était dimanche, à Meudon, chez F. On y était allé pour déjeuner et essayer de comprendre ce qui n’allait pas avec sa caméra. Et c’est la caméra qui ne va pas, apparemment.
– Et la veste ?
– C’est celle de C.Z. L’une des preuves de son existence (pour ceux qui en demandent).
– Et le train ?
– Celui de Meudon.
– Bon et hier, tu as fait quoi ?
– Hier, il n’y avait pas de RER B (aujourd’hui non plus mais j’ai pris le train gare du Nord). Je suis allé travailler rue Poulet. Programme pour Bayonne, musique, visionnages.
– Pfff… Pas passionnant.
La porte… Clac ! Tiens, il fait chaud. Ventilateur.
Sortir. Aller prendre un café rue du Landy, tiens.
Hop.
DUPONT ET DUPONT
La meilleure chose à faire c’est de prendre un médicament vers 4 ou 5 heures du matin et de se recoucher. Alors on se réveille en douceur vers 8 heures.
Peut-être que le rafraîchissement et la pluie sont pour quelque chose dans l’amélioration de mon état aujourd’hui.
Appelé Gaëlle dite « la nunuche », pour savoir où en sont les défraiements de H.D., F.D. et P.G. mais suis tombé sur son clone. Technique imparable des passifs-agressifs.
Je crois qu’il va falloir attendre dix mille ans. Ou y aller en personne et tout casser dans les bureaux.
Pas mal de temps perdu à remplir le dossier pour la MDA.
Obligé de repasser rue Poulet pour vérifier des factures.
Légers problèmes d’incontinence. Stop and go. Effets secondaires ?
Suis en retard au déjeuner avec P.G.
Arrivée à Saint Denis à 15h30.
Voir le rapport de police, pour ceux qui veulent des détails.
Rentré 21h00.
Onglet et pommes de terre sautées.
Recherche de bibliothèques. Aucune n’est assez large. J’aime bien les doubles, celles des librairies (mais j’aime bien les cartons empilés aussi). Y. trouve ça trop lourd.
Il y a le style provençal aussi, bien sûr.
Essai de galeries photos.
Déjà il se fait tard.
Les listes de courses, j’arrête quand je veux.
TOMBÉ DU LIT
Vers 4h00 du matin. Impossible de me rendormir.
Pris une douche, me suis rasé, habillé.
Ciré deux paires de chaussures que j’ai prises en photo et mises en vente sur eBay, tout en préparant du thé.
Ensuite, le temps de lire la presse, les blogs, ranger deux ou trois trucs… je suis parti vers 7h00 pour Saint-Denis.
Tourné, monté et mis en ligne un film avec levé du soleil, arrivée des employés en RER et leur traversée du passage Boise.
Il fait froid.
Rentré à 13h. Suis passé prendre Y. à la maison et nous sommes allé déjeuner au petit restaurant chinois. Sur le chemin nous postons des courriers.
Pour avoir de l’eau, il faut demander en chinois:
请您能给我们一瓶水吗?
On a aussi commandé un plat sans connaître la traduction en français. Un truc très bon avec du poisson, mais lequel ?
Sommes passés chez Naturalia acheter des algues et des tisanes.
L’électricien devait passer pour réparer le disjoncteur différentiel qui a sauté mais il a oublié ses outils…
Encore une réunion du CG. La semaine prochaine, mercredi, endroit à définir près de République. C.B. envoie un choix d’extraits de correspondance pour le catalogue de la biennale. C.Z. trouve que c’est nunuche. Moi, ce sont les déclarations d’intention que trouve grotesques en général.
On s’est fait un bon thé, on s’empiffre de florentins et on travaille un peu à la maison avant d’aller à Pantin voir le film de J-G.P. (à 18 heures, je crois).
J’avais cru devoir maudire le cinéma à force de migraines attrapées en regardant de mauvais films et puis il y a eu la merveille de Martin Rit.
Bravo.