
C’est beau le ciel le matin. D’abord c’est rose et puis ça s’embrase.
Il ne fait jamais vraiment froid. Il n’y a plus de gelées, plus de glace et plus de neige. C’est la saison unique. Il fait juste nuit et il pleut aussi, pas mal.
Pas trop.
Comme souvent le jeudi, nous nous sommes réveillés tôt.
Il me fallait être à 9h à Vavin. Et j’y fus. Le studio de J.M. avance bien. T. a construit l’ossature interne. Dans quinze jours ça devrait être la fin.
Vers dix heures, je repars pour Montreuil.
Arrivée autour de onze heures.
K. appelle pour dire qu’il n’a pas le temps de parler et rappellera plus tard. Plus tard, il ne rappelle pas. Plus tard encore, je le rappelle mais il ne répond pas. Plus tard encore, il rappelle mais je suis dans le métro. On se rappellera demain.
J’organise un peu le planning, je sors des devis et des factures, je travaille sur de nouveaux morceaux pour LDELCO, puis A. se pointe. On papote en écoutant des choses et il est temps de rentrer.
J’avais eu l’intention d’aller chez le coiffeur, mais je ne suis pas passé devant un salon de coiffure. Je recharge les tondeuses et vais bouquiner.
Je n’avais pas pris le temps de déjeuner alors j’ai pris pour le goûter des petits biscuits pomme-noisettes, une tartine de beurre de cacahuète et une clémentine corse avec un thé d’Aubrac. Là, je bois une Grimbergen qui trainait dans le frigo.