UNE VOLONTÉ, UN DYNAMISME

Cette chose sublime, c’est le cadeau que m’ont offert O. et L., reçu vendredi matin par la poste. Difficile d’imaginer qu’un cerveau, même malade, ait pu concevoir un tel logo.
Vendredi soir, M., F., L. et Z.L. sont venus dîner. Chili con carne et galette des rois.
Le petit dragon a joué avec le feu toute la soirée que c’en était un vrai bonheur.
Samedi matin, on a bien avancé avec N. et même terminé d’écrire la trame du film.
On peut se mettre au synopsis maintenant.
Le soir, dîner à Saint Maurice. 
J’ai perdu le chéquier de la maison et il faut que j’appelle la bouchère pour qu’elle me donne le numéro du dernier chèque pour que je puisse faire opposition mais la bouchère est toujours occupée.
Dimanche, journée studieuse. J’ai terminé les fiches des personnages et tapé les notes. Monsieur D. est venu nous livrer 10 sacs de 40 litres de bûches. 
Il fait frais.
Sommes sortis à 14h30 dans l’intention d’aller chez P. et I., qui étaient censés organiser une sorte de grande galette des rois mais Y. s’est trompée de date et nous les réveillons alors qu’ils faisaient la sieste.
Ensuite gym de 17h à 19h. Je tombe sur AE.P., que je n’avais pas vu depuis plus de dix ans. Du coup je ne fais que 30 minutes de circuit cardio parce qu’on se met à discuter.
De retour, encore quelques travaux d’écriture.
Ce matin, fin des vacances. Il faut que je réserve une place dans le train de 11h58.