ENFIN SEUL

Il suffisait d’y penser: j’ai supprimé tous les compteurs, trackerc, etc, de tous mes blogs.
Quelle libération ! Fini le nez collé aux statistiques. Un poison, ces statistiques. Un gouffre.
Terminé les fantasmes de contrôle, à moi les délices de la cécité.
Je devrais aussi me débarrasser de quelques comptes mails. Déjà le neuf, c’est terminé et ce n’est pas trop tôt.
Tiens, ça sent le poulet frit par la fenêtre. Pourtant mes fenêtres donnent sur la rue Myrra, pas sur la rue Poulet. Hum, hum…
Il serait temps de rentrer, d’aller manger un morceau.
Pas oublier la caméra et le pied pour demain, tournages divers avec E.
Fait des choix dans les archives.
Passé des coups de fils à A.R., A.R. (tiens mêmes initiales) et L.T. pour des voix.
Avancé sur les écrans avec O.
A l’instant appel de A.R. (lui, pas elle) qui est d’accord pour enregistrer des voix et on se rappelle mardi pour se donner un rendez vous ferme.
Hier c’était régression (cinéma et séries américaines). Mais régression nécessaire (de bons rêves roboratifs ensuite), avec en fin de journée Leur morale et la nôtre, pas pire mais pas mieux (simplement Dussolier et Abril s’amusent tellement que c’en est réjouissant: c’est du théâtre de boulevard). Lecture stimulante de Charles du Bos, grâce à Y. Une pensée fine et exacte (les Approximations, pourtant).
Trop de pain, de pâtes et de produits laitiers cette semaine.
La semaine prochaine fruits et légumes.
Il y a un trucs qui m’a fait hurler de rire au cinéma… Ah oui, le nouveau parfum des magnums à la cannelle. Il faudra que je note le nom de ce truc. Ou mieux, que j’enregistre la pub (c’est que le phrasé même est impayable).
Allez.