PR

Levé 9h20.
Cardio fitness + Spécial dos.
Sandwich céréales.
RDV avec O. sur le quai du RER B. gare du Nord à 13h.
Rentré 15h30.
Y. décape des machins. L’odeur du solvant est à peine supportable.
Le temps de numériser quelques photos et je ressors pour rendez vous à 16h30 à la banque. Sur le chemin, je croise D.O. en compagnie d’A. (qui était venu faire les enregistrements japonais de A.F. rue Poulet dernièrement) et de N., que je ne connais pas. Je leur propose de les rejoindre en sortant de la banque mais D. me dit qu’elle doit retrouver V.D. au café Beaubourg.
Je dirige donc mes pas de côté en sortant et je me joins à la tablée de D.O et V.D. , assis en compagnie de M.P. et M.O. 
On discute un moment et chacun reprend ses activités.
Je repasse à la banque et recroise M.P. et M.O. dans la rue Rambuteau.
Je pense qu’ils allaient à la librairie Chez Colette.
Passage au MK2 mais le film de Depleschin, que j’ai l’intention de voir parce que ça ne peut pas être pire que Hulk ou Wanted, quand même et que j’avais l’intention de me tenir au courant, n’est qu’à 18h40 au lieu de 18h, je retourne à la maison en attendant l’heure dite.
Bon… De retour à 21h25, je peux dire que malgré tout – et malheureusement, si, le Despleschin c’est encore pire que Hulk et Wanted. Parce qu’il y a dans Hulk, malgré sa nullité, la vision stupéfiante de cette Favela brésilienne et la joie vraiment palpable d’un petit français à faire son casting parmi les stars holywoodiennes de ses rêves de gosse (d’ailleurs le casting est raté comme un gloubi boulga) et qu’il y a dans Wanted, qui est par ailleurs une merde fasciste suprême, une scène sublime: celle du train avec la chute du wagon dans le gouffre: passage du 3D au studio réalisé avec une réussite impressionnante. Dans Un conte de Noël, il n’y a rien du point de vue de la mise en scène (à part la chute face en avant de M.A.) que la reprise de poncifs truffaldiens (on se croirait au XXème siècle) et une fascination complaisante pour de mesquines et ennuyeuses cruautés familiales relevant de l’hystérie ordinaire sur fond d’érotisation de la culture comme instrument de domination sociale.