L’électricité est coupée de manière intermittente et il y a des travaux dans toutes les pièces. Je sors faire un peu de gym avant d’aller travailler à Saint Denis cet après midi.
La voisine est venue se plaindre que son plafond lui tombait sur la tête mais coup de bol ce n’est pas à cause de nous.
Hier, rendez vous avec A.C. à l’agence à 10h pour préparer la réunion de la semaine prochaine. Ca va barder avec M.S., on imagine, étant donné qu’il s’était fabriqué tout un système de clefs de répartitions spécialement calculées pour lui.
Ca coupe encore…
Finalement, on parvient à localiser le disjoncteur différentiel du salon et il se trouve que c’est le même que celui de la cuisine. Il nous est maintenant possible de coexister, l’électricien et moi, puisqu’il peut couper le courant de la partie du circuit sur laquelle il travaille sans m’empêcher de travailler de mon côté.
Y. est sortie faire une course. il faut que je reste encore un moment pour surveiller le chantier en son absence. Hum…
Donc hier, en sortant de chez AGC, je dois pratiquement marcher jusqu’au square Montholon avant de trouver un Vélib’ pour me rendre place de l’Opéra où je dois récupérer une paire de chaussures.
Ensuite, retour à la maison pour déjeuner mais il y a des travaux et je vais manger un menu S4 au restaurant japonais en face de la maison. Coup de fil de J.B. qui dure tout le repas, pour savoir si elle peut monter en vidéo HD sur son iMac G5, s’il est possible de monter en DV et de faire une conformation finale, si je n’aurais pas une caméra Super 8 et si finalement ce ne serait pas plus mal en 16mm.
Je raccroche, après avoir terminé mon riz et mes sashimis.
Ensuite, passage éclair à Saint Denis pour poursuivre les installations. F. et S. débarquent vers 17h. J’ai juste le temps de transcoder une vidéo avant de filer précipitamment sous la pluie pour rejoindre Y. au pot de départ de mon père dans un bar près du parc Monceau. Là, comme il fallait s’y attendre, nous sommes nourris de manière somptueuse: foie gras, terrine de lotte au coulis de tomate, moelleux au chocolat et crumble rhubarbe.
Et ce qui tombe bien: nous devons ensuite nous rendre au théâtre Hébertot, qui est juste à côté, pour admirer R.D. et l’extraordinnaire D.L. Comme il pleut encore des hallebardes, ma mère nous dépose en voiture. Mme de L’espinasse aurait gagné à être interprété avec plus de froideur, d’esprit et de cruauté par S.B., dommage.
On va discuter cinq minutes avec R. dans sa loge et le déposons à l’angle de la rue des Martyrs avant de rentrer à la maison.
Il faut débarrasser le plancher de la chambre pour les réparations d’aujourd’hui.