Et c’est vrai que la nourriture est un médicament: je me sens mieux après un bon bol de udons aux crevettes tempura.
Il fait chaud. Enfin, 10°C.
L’étau semble se desserrer autour de mon crâne. Ouf. Un peu de reniflance, encore.
Espérons que demain, il n’y paraîtra plus.
Mine de rien, j’ai pu faire tout ce que je devais faire mais en plus lentement et en éliminant tout le reste (rendez vous, sorties, gym, préparations, lectures).
Mais je n’aime pas ça, non, je n’aime pas ça.
J’aimerais aimer ça.
J’aimerais aimer être malade.
Aimer rester cloué au lit.
Mais je ne peux pas, je suis aliéné.
Bon.
C’est comme ça.
Ce matin encore je n’ai pas pu me lever et c’est Y. qui a accompagné C. à la crèche.
J’ai réussi à émerger vers 10h. On a mangé tôt. Je suis allé chez le coiffeur, posté quelques courriers. Passé les coups de fils à faire, organisé ce qui devait l’être.
Suis allé chercher C. à l’heure dite, après un passage à la banque, récupéré une nouvelle carte bleue, détruit l’ancienne.
Fait des courses et la cuisine.
Regardé des films avec C.
Et maintenant quelques mails, lire et au lit pour demain on l’espère opérationnel enfin.
C’est la gym qui me manque le plus cette semaine.
On se rattrape la prochaine.
Récupéré le vaccin. M., le pharmacien était content de revoir C. Ses deux enfants sont encore trop petits pour l’accompagner au travail (4 ou 5 mois).
Vendredi:
timbres: 6,96 €
coiffeur: 25,00 €
courses: 32,08 €