Enfin, ce n’est pas complètement fini ce rhume.
Malgré tout, cardio fitness ce matin. 92 pulsation au départ. Genre pas en forme.
Alors j’écoute Jean Daive. Ca calme.
Après ça, rendez vous rue Poulet avec K.-A. qui doit venir faire un stage en mars avril. Il faut qu’on invente quelque chose, alors.
Elle est très grippée, la pauvre, et il ne fait pas chaud rue Poulet.
On va boire un thé et je mange un morceau chez le traiteur chinois de la rue Ramey.
De retour, on regarde quelques vidéos, mais la pauvre est si malade que je lui conseille de rentrer se soigner.
Ensuite j’enregistre un morceau, avant de rejoindre H.V. au Floors pour encore un thé.
On discute mise-en-scène. Méthode Bunuel, etc…
Il est bientôt 18h30. L’heure de sauter dans le métro pour être à 19h15 à l’UNESCO au concert de Terry Riley avec le Kronos Quartet.
Le plus fascinant, je trouve, c’est d’être dans cette salle de conférence immense, avec un petit bureau et un casque pour les traductions simultanées. Il y a vraiment une impression de cosmopolitisme réjouissante. On entend parler dans toutes les langues.
Le concert, moyen…
Y. est plus intéressée que moi. C’est vaguement planant et académique. Vidéos pompeuses d’images cosmiques. On dirait un visuel iTunes.
Ensuite, on mange un morceau à Maubert avant de rentrer.
Cette fois on parle de Madame de qu’Y. a revu cet après midi.
« Nous ne sommes que superficiellement superficiels…«
Ah, Ophuls….