2h18 RUE JEANNE D’ARC

Soudain, dans le silence de la nuit.
– Polo !

– Polo ?

– Polo !

– Polo !

– Pol !

– Polo !

Etc, pendant dix minutes.

C’est pas folichon, mais on retourne en réunion.
A plus tard.
[MàJ] Arrivé à l’instant à Paris.
Eu Z.L. au téléphone: il passe me prendre et on va manger un morceau ensemble.
Les beaux arts de Paris lui ont fait repasser son diplôme, les chacals. Et il l’a donc re-eu.
Pff, quel cauchemar.
On a failli rester coincés sur le quai de la station TGV Nord Picardie, le train étant bloqué par des feux de talus, nous a-t-on dit.
C’était agréable, cette attente au soleil.
Revu P.M.-G., que je n’avais plus croisé depuis le tournage d’O.S. mais je l’ai reconnu tout de suite. Il travaille maintenant à Lille. On échange nos coordonnées.
Le train repart et voilà, nous y sommes.
J’ai faim, pourvu que L. ne mette pas trop de temps à venir.