
Et là je n’avais plus d’image, donc je suis retourné en arrière. C’était il y a deux semaines, à Séoul, au musée Arario, en bas. Dans l’espace studio, où sont présentés les travaux de jeunes artistes émergents. Ici, de grandes peintures d’après photo.
J’avais utilisé ces photos (et d’autres) à titre d’exemple au cours des deux derniers jours, consacrés à des rencontres avec les étudiants de première et deuxième année. Et, contrairement aux étudiants de troisième année, dont l’apathie m’attriste, les étudiants de première et deuxième année sont enthousiasmants. Je m’attendais à des journées fatigantes, parce que denses, et elles le furent mais elles furent surtout enthousiasmantes, parce que tous ou presque avaient réellement un projet et un véritable désir de créer.
C’était donc un bon moment, malgré la toux, la sinusite (je ne crois décidément pas que ces antibiotiques soient très efficaces).
Ce matin, visio à 8h45 avec J.K. pour des studios au Rwanda, avant la reprise des rencontres, qui s’achèvent autour de 11h. Ensuite, rendez-vous mémoire avec F.D., qui médite une tragédie grecque à caractère médical, puis un bibimbap et hop, du son avec K.L. et rendez-vous avec E.C. pour préparer la projection en Corée en avril.
On pensait continuer à travailler un peu en fin d’après-midi avec K.L., mais un certain T.Z. prétend avoir réservé le studio et on reporte à la semaine prochaine, ce qui me permet de rentrer un peu plus tôt que d’habitude.
J’ai oublié de dire que j’avais vu Peter Moog hier soir, venu me parler de son projet sonore et on se dit qu’il faudrait organiser une projection de Autrement la Molussie de Nicolas Rey. Je laisse un message sur un e mail, mais l’adresse (club-internet) semble dater.
J’arrive à temps pour le dîner de Bubunne et une bonne crise de nerfs avant un dodo mérité. Anouk ronpichonne et je ne vais pas tarder.
