Finalement, pour terminer cet article, j’ai travaillé jusque vers 5h40 ce matin. Mal au crâne et pas réjoui par la perspective de devoir me réveiller vers 9h30 pour le passage de Gilles. Je n’aime pas recevoir quand je ne suis pas frais, mais aussi je suis un peu schtarbé de travailler jusqu’à ces heures indues.
Bref au lit, au lit…
Mais je ne dors pas beaucoup. La ville s’éveille. Je mets la radio. Somnolence mi-consciente. Rêves effilochés, sans suite. Gilles appelle pour dire qu’il sera en retard. je fabrique du thé en attendant et télécharge le film que je dois lui graver sur CD. Il arrive vers 11h. Je n’ai même pas un bout de pain à lui offrir (il faut que j’aille faire des courses) et je le reçois très mal (désolé!). Pour couronner le tout, le magnétoscope DV fait des siennes lorsque j’essaye de lui montrer des épisodes des Communications. Lorsqu’il repart, je me recouche. Deuxième réveil: 13h30. Mal de crâne, un peu. Je me fais réchauffer des pâtes et du thé.
Il faut que je fasse ma leçon de russe avant de sortir. Et voir ce qui se joue ce soir à Beaubourg.
J’ai aussi pas mal de trucs à écrire mais je préfère remettre à plus tard et consacrer mon temps à Y. qui part demain en tournage.
J’ai l’impression d’habiter un appartement virtuel. Les écrans sortent des murs et le frigidaire s’enfonce dans le sol. le parquet est transparent et je place le soleil où je veux, comme je veux.