
C’est un vrai émerveillement de voir les choses se mettre en place.
Les finitions sont engagées.
La climatisation fonctionne et elle est totalement insonore.
La chicane permettant de rafraîchir le vidéo-projecteur remplit son rôle.
L’air circule.
À l’instant, je viens de faire un gros virement en direction du Royaume Uni.
Les enceintes ne vont pas tarder à prendre le bateau ou l’avion.
G. est en train de leur construire de jolis berceaux, à l’instant où j’écris cette phrase.
Il est l’heure d’aller chercher poupette.
Je m’interrompt brièvement, le temps de ce faire.
Un brin de causette avec M., devant l’école.
C. sort. Nous rentrons.
Je ressors faire une course.
Gnocchis, tomates cerises, champignons de Paris, mélange de graines salées, Chardonnay 2009, tapenade, crackers bio aux graines de courges.
Je rentre pour faire cuire des haricots verts à la vapeur, tout en prenant l’apéro.
A midi, après la livraison du meuble technique fabriqué en Roumanie et expédié depuis l’Allemagne, nous étions allés déjeuner au Café Salé.
Environ une demi heure d’attente pour qu’un garçon s’intéresse à nous et encore une heure pour être servi.
Et ils se sont trompés sur la commande de G.
À éviter à l’avenir.
Même si, heureusement, la compagnie était bonne et la conversation nourrie.
Je ne comprends pas très bien comment on pourrait aller plus avant dans l’humiliation.
J’ai du mal à saisir quel comportement est attendu, exactement, de la part d’un client d’une brasserie parisienne, ou assimilée (nous sommes à Montreuil).
C’est un peu comme les services de livraison.
Y a comme du mou.
Avec A., on a fait passer les fils dans les passages techniques.
Tout est prêt pour le 5.1 quand les enceintes seront là.
En attendant, l’on s’émerveillera en stéréo.