
Rien à faire, à Lille on boit et c’est comme ça.
La dose limite, pour moi, c’est huit verres. Je veux dire avant d’être malade.
Évidemment, je parle de huit verres consécutifs sans manger dans une assez courte temporalité.
La plupart de temps, à Lille, on se couche à 5 ou 6 verres.
C’est déjà beaucoup.
Surtout avec cette manie de servir des pintes d’un demi-litre qui sont déjà bien plus que des verres. La matinée fut brumeuse, le réveil vaporeux, le café une question de survie.
Pas possible non plus d’écrire tout en tenant permanence à la bibliothèque et c’est très bien aussi d’être sans arrêt sollicité par les élèves. C’est plus intéressant que de remplir d’interminables pensums pour la DRAC.
Mais bref, l’heure du 18h32 pour Lille s’approche (s’il n’y a pas encore une grève) et je n’ai pas eu le temps d’écrire un mot.
On remet à plus tard.