
Cette nuit, aller-retour Nantes-Piogé, pour déposer les parents de R. à l’aéroport. Départ 2h00 du matin, retour 5h00. Un petit renard très joli traverse dans mes phares au niveau du Grand-Moiré. Quelques regards interceptés dans la nuit. Tapidum lucidum, comme diraît Nathanael Maury.
S. vient faire la grasse matinée vers 7h00. On ronpichonne jusqu’à 10h puis R. part faire des courses pour leur périple de trois jours. Pendant ce temps, je fais des crêpes pour S. et moi. On a des stocks importants de confiture de mûres et de quetsches maintenant. Il s’agit de se donner des occasions d’en consommer en abondance.
R. croît avoir perdu sa carte bleue et fait des allers-retours avant de la trouver sous son siège dans la voiture. S. ne veut rien manger à midi. Les préparatifs prennent quelques temps mais enfin ils sont prêts à partir. Je trouve qu’ils ont bien du courage, par trente cinq degrés à l’ombre.
Je fais un saut à Thouars pour acheter du curcuma, du gingembre, des myrtilles, des yaourts et un cubi d’Anjou rouge. Je cherche en vain un professionnel capable de dupliquer la télécommande du portail, dont R. a perdu le deuxième exemplaire en juillet. Tiens, je vais regarder sur le Bon Coin, sait-on jamais.
J’ai fermé tous les volets portes et rideaux. Il fait frais dans la maison. On n’imaginerait pas la fournaise extérieure. Les chats indolents se prélassent sur les carrelages et même dans le bidet de la salle-de-bains.
