De me réveiller à 9h30, m’étant couché tôt, me plonge dans une profonde angoisse. Impression que la journée est déjà finie, que ça ne sert plus à rien de se lever, etc… Puis je me dis que j’ai aussi le droit d’être en vacances de temps en temps et que si je veux me lever à midi, après tout, hein ? Et ça va tout de suite un peu mieux. Mais du coup je ne me lève qu’à onze heures.
Avant de me remettre au sous-titrage de Polyeucte (repris hier), il faut que j’organise la semaine (rendez vous enregistrements ACR, etc…) et que je mette enfin dans mon répertoire toutes les adresses et tous les numéros de téléphone qui traînent sur des petits bouts de papier volants, des tickets de métro etc… Je bois beaucoup de thé et me suis préparé une salade roquette foie de volailles.
Lessive de blancs et donc à prévoir un passage séchoir à la laverie. Ce soir nous avons décidé de manger et dormir chez Y. Les radiateurs marchent de nouveau chez elle. Peut être un Minnelli à Beaubourg ?
(A l’instant – 15h00 – Z. me fait remarquer par mail que nous sommes mardi et s’étonne qu’il puisse me prendre l’envie d’aller voir un Minnelli quand Beaubourg est fermé. je lui réponds – et c’est vrai – que je pensais que nous étions lundi)
Z. a enfin réussi à faire monter son disque dur sur le bureau de son PC et E.G. a pu dézoner son lecteur dvd grâce au programme que je lui ai posté. La machine à laver ronronne bien régulièrement tandis que j’écris. H. m’a fait remarquer que, si dans le contexte d’un post une vidéo est intéressante en tant que document ou que contrepoint du texte, dans la mesure où il n’y a que des vidéos (video_archive) sans autre contexte (bien qu’il y ait tout de même un titre et une date), il lui semble que la vidéo doit alors prendre en charge ce qui l’était par le contexte et donc exige un peu de travail de montage. J’y pense et aussi à la quantité d’espace FTP que le stockage de ces vidéos représente.
La lumière passe du chaud au froid. Les chiffres de la catastrophe sont bien pires que lors des premières estimations: 40000 morts ce matin, sans compter blessés et disparus.
TOUT RENDRE
Pendant que FCP calcule, autant faire un petit post en passant. Dire que le soleil brille par intermittence mais qu’il fera bientôt nuit. Que je mange des noix avec du miel. Qu’Y. vient d’appeler pour dire que le studio de mixage avait annulé son mixage. Il faudra que je me souvienne de leur faire une contre-publicité retentissante. Que le linge est propre et sec. Que MIR parle de Silvère dans son dernier post.
Allez, je vais refaire du thé. Finalement, ce soir nous dormirons ici de manière à enregistrer deux ou trois bruitages pour Y. à la nuit tombée, lorsqu’il n’y a pas trop de bruit.
Ah, ça y est: c’est rendu.
ET MA RUE ?…
En consultant la nomenclature des voies parisiennes, j’ai obtenu les renseignements suivants concernant la rue Poulet (je réponds ici à une ancienne question de Tlön).
Situation
Commençant rue de Clignancourt, 36 et rue Myrha, 100. Finissant rue Doudeauville, 65 et rue des Poissonniers, 33bis.
Géométrie
Longueur: 320 mètres
Largeur: 12 mètres
Géocodification
Code informatique pour la Ville de Paris 7743
Code informatique pour la D.G.I. 7770
Feuilles parcellaires de la collection de la Ville de Paris.
Feuilles nos 51A4, 51B1.
Classement dans la voirie parisienne.
Décret du 23 mai 1863. Précédemment voie de l’ancienne commune de Montmartre.
Alignements (non retenus au POS).
Ord. du 31 mars 1847.
Historique.
En 1843, rue du Ch�âteau Rouge.
Orig. du nom.
M. Poulet, l’un des anciens propriétaires qui ont percé la voie.