CHRISTOPHE COLON

Hier, mercredi, journée archives non stop.
Enfin, stop juste de 12h à 13h30.
Lapin liégeoise, frites maison.
En sortant, passage à l’atelier de T.M. pour écoute analytique en vue du concert de Brest.
Vélib’ back home.
Fondue de poireaux, saumon vapeur à l’aneth.
Maya, un brin. Etude des documents du jour. Tisane. Confiture.
Ce matin, réveil 7h.
Au cinéma à 9h05, Martyrs. Resté 10 minutes. Trop mal joué, trop mal mis en scène, trop mal filmé. I can’t stand it any more more.
Du coup, gym avant de rejoindre L.P. rue du Bac pour un déjeuner d’affaire qui nous mène à 15h et des bananes. Crampes dans les mollets et genou gauche fragile.
En sortant de chez le coiffeur, vers 16h30, je tombe sur S.B.
On va prendre un café, après avoir tourné un bon quart d’heure à la recherche d’un emplacement libre pour son vélib’. 
Passage maison. Mails et coups de fils. 
A 18h30, avec Y., Christophe Colomb (et donc Colon, en fait) au Latina. La copie pleure étrangement. Les trois premiers plans me transportent mais après je m’assoupis et m’ennuie poliment. 
On a faim en sortant.