Le riz est cuit, finalement.
Mais on a déjà mangé le poisson et les tomates provençales. Il fallait y penser: le riz complet c’est plus long. Bon.
Donc, annulation du billet de Y., réservation d’un nouveau billet à des dates plus convenables, grâce au tuyau de L. et son booker brésilien. Tout est réglé en un coup de Skype. Du coup, puisque le séjour de Y. en Chine est écourté, nous décidons de partir maintenant pour deux semaines de villégiatures.
Nous louons une voiture et commençons à étudier les plans et les routes.
C’est aussi le moment de terminer de casser tous les murs, de replâtrer les trous et d’en finir avec les démarches administratives (dont, d’ailleurs, les demandes de visas pour la Chine).
-Ah, demain matin le passeport ! Pas oublier, ça !
-Hum…
Passage rue Poulet en fin d’après midi pour faire mes paperasses, graver des DVD et envoyer un dossier à Paris-Berlin. Reçu le chèque de Maryse Eloy. Cool: la trésorerie était à sec. Ma carte bleue est saturée et pas de nouvelle de la « Premier » que j’ai commandée pour pouvoir faire encore plus de dettes.
Hier, après avoir pris le thé avec ma mère, qui nous a apporté plein de confitures (merde, j’ai oublié de prendre les pots que je thésaurise rue Poulet !).
Y. s’est installée par terre avec l’atlas pour savoir où nous allons aller et dans quel ordre.
Hier soir, sommes allés dîner chez J. et E. à Montreuil. Leur maison ressemble au château de Moulinsart en mieux.