EUREKA !

J’ai enfin compris pourquoi la freebox déconnait: à cause de la rallonge téléphonique, dont le diamètre est insuffisant. Bref, en la branchant sur une autre prise tout va bien.
Il ne nous reste plus qu’à faire installer une prise supplémentaire. En attendant, je travaille dans l’entrée (mais il faut que je pense à rebrancher le téléphone.
Sinon, autant vendredi et samedi furent des journées solitaires, autant dimanche fut une journée sociale. En sortant de la gym, vers 11h30, j’ appelle les L. pour leur proposer un brunch chez Rose Bakery mais la foule à l’entrée nous fait changer d’avis et nous décidons, à la place, de faire des courses et d’aller déjeuner chez eux. Nous passons un bon moment ensemble jusque vers 17h00, où je rejoins H.D. Tout en essayant de trouver un format de compression vidéo compatible avec son photo frame, nous attendons U., qui n’arrive pas. H. finit par recevoir un e mail dans lequel U. explique qu’il est venu, nous a attendu en bas, n’avait pas le code, est resté un bon quart d’heure et s’en est allé. Nous sautons qui sur un vélo, qui sur un Vélib’ et fonçons dare-dare chez lui, mais il s’est barricadé, a décroché son téléphone et ne répond pas à l’interphone. Nous sommes assez inquiets et décidons d’aller boire une bière chez Dishny. Heureusement, ce n’est qu’une bouderie passagère, comme je l’apprendrai plus tard, par réexpédition d’un mail reçu par H. 
Et, en buvant nos bières, on se dit qu’on irait bien passer 5 jours à Venise début novembre, pour la fin de la biennale et visiter les environs. Il faut que je m’occupe des billets et de trouver une piaule. Passage de J., qui doit bientôt montrer son film argentin. On se rappelle? Bien sûr. Avec tout ça j’ai loupé la vente sur eBay de deux magnifiques costumes Smalto, deux beautés. Quel imbécile, j’aurais du placer une enchère avant de sortir ! Je quitte H. précipitamment, pensant avoir encore le temps d’attraper une chemise Agnès B et remonte sur un Vélib’. Alors que je m’engage sur le Faubourg Saint-Martin, je tombe sur C.N-O., qui m’interpelle. C’est marrant, je l’avais croisé jeudi soir, à la porte du syndic, juste avant la réunion des copropriétaires. Il est en réalisation à la FEMIS maintenant, en deuxième année. Il faut que je trouve un ordi et du réseau pour surveiller Mon eBay. C. m’indique un cybercafé. Je constate que j’ai loupé toutes les ventes de la journée. Nous allons manger un morceau quai de Jemmapes (plus précisément, puisqu’il a dîné, je mange une blanquette de veau, nous buvons du côtes du Rhône et prenons deux moelleux au chocolat). Nous papotons jusque vers 1h00. A un moment, j’appelle T.M., pour lui raconter notre rencontre et nous convenons de nous voir mercredi vers 17h00. 
J’écoute la radio toute la nuit pour contrôler que la liaison internet est désormais fiable et elle l’est. Ce matin, un tantinet vaseux. Bain, rasage, machine à laver, réservation de billet de train pour Tourcoing. Thé.