J’en connais un qui doit reconnaître ici sa cantine du moment (private joke). A propos de cantine, il serait temps d’aller me chercher quelque chose à manger avant de reprendre l’écriture de ce fichu article. Cette fois, comme on dit avant la bataille, il faut en finir. Sans compter que j’ai d’autres chats à fouetter. Avons regardé le Faust de Murnau hier soir (terminé ce matin), qui est une pure merveille de lumière et de plastique, mais ne montre pas la même invention, en terme de stricte mise en scène, que le Tartuf vu il y a quelque jours. Enfin, comme dirait l’élégant O.S., ça fait du bien au cul et il nous reste encore « La terre brûle » et deux ou trois merveilles reçues dernièrement sur le disque dur. Lecture très reconstituante de Daniel Arasse (Histoires de peintures) et notamment la notion de bâtiment de mémoire, opposée à la rhétorique me retient. C’est sans doute faux, mais j’ai l’impression que cette idée a quelque chose à voir avec l’écriture dans un blog. Que, d’une certaine manière, en tout cas pour moi, le blog tient davantage du bâtiment de mémoire que du texte rhétorique. Le bâtiment de mémoire était une méthode de prise de notes par des moyens visuels, mnémotechniques, soit que l’on s’adressât (ou que l’on fût soi même) à des analphabètes, soit qu’il fût matériellement impossible de transporter le texte (volumineux et pesant à un âge qui ignore le papier et a fortiori l’imprimerie). La question serait donc: quel manque – s’il est bien un bâtiment de mémoire – le blog vient il pallier ? Hum…
LES CONSÉQUENCES DE LA COLÈRE SONT BEAUCOUP PLUS GRAVES QUE SES CAUSES
Je me disais ça en relisant les entrées d’avril.
Qu’il faudrait Marc Aurèle pour les titres.
Titreur, le correcteur d’orthographe ne connaît pas.
N’est ce pas un métier, pourtant ?
Ou pas ?
Que les images à 400 pixels c’est pas mal non plus.
Ca met mieux en regard le texte et l’image.
Y penser, parfois.
Très beau, Bass Bassina Boulou.
N’avais jamais ouvert le livre.
Demain, lever tôt.
M’est avis qu’il me faut davantage de cauchemars et de mauvaises rencontres.
Bouger plus. Plus vite, plus fort.
Et en finir, enfin, avec cet article.
Aller plus vite et plus droit en besogne.
Pipi.