Reçu tout à l’heure à la radio le paquet vide de Sony, livré par UPS pour renvoyer le magnétoscope en panne. Malheureusement, soit ils ont oublié de coller le numéro de retour, soit il est illisible suite à l’arrachage de l’étiquette. Bref, il faut que je rappelle Sony pour obtenir cette référence indispensable.
Encore une bonne journée de travail, avant l’interruption du mois de mars. La dernière écoute est plutôt réjouissante. Nous avons bien retapé le début qui était un peu mou. Les ouvertures de pages et les scintillements électroniques fonctionnent bien. Les échanges de mail aussi. Et les lectures d’Anne B. Bref, je suis content et Gilles aussi, je crois. Coup de fil de Marie-Jo: le jeu de Paume n’a pas les moyens de prendre en charge mes frais de copies. Je suis donc dans l’obligation de refuser de leur prêter mes films. tant pis pour eux.
Passé chez Hélène en rentrant de la radio. Nous buvons une 8.6 qui nous donne un peu le vertige et nous allons vite manger un peu de chocolat rue Poulet en regardant le Frankenstein (1910) d’Edison en vidéo-projection. Y. nous rejoint et nous allons manger un morceau dans le restaurant polonais de la rue Adré Delsartes.
HIBERNATUS
Impression de n’avoir rien fait aujourd’hui. Passé quelques coups de fil (pour annuler les films au Jeu de Paume, pour l’enlèvement du magnétoscope, à l’Entrepôt pour Polyeucte, aux impôts pour prendre rendez-vous, etc…). Pas bougé ou à peine. Le froid me décourage. Vaguement fait quelques essais dans Digital Performer, mais sans entrain. Journée maussade. Lessive, ménage.
Je n’ai même pas envie de m’amuser à faire clignoter les textes.
Payé le premier tiers provisionnel, qui est arrivé en retard. il faut que je constitue un dossier pour ne pas avoir ultérieurement à payer de majorations m’a dit l’inspecteur, qui mangeait son sandwich.
Je vais me faire une bonne soupe. Voilà ce que je vais faire.
Et puis lire au lit. Voilà. C’est exactement ce que j’aurais dû faire toute la journée.
Y. est au théâtre mais il n’y avait d’invitation que pour une personne. Cela dit, vu la tempête, je ne regrette pas de rester au chaud.