Oh no, boy ! You’re not alone !

Quasi pas fermé l’oeil de la nuit, mais je me rattrape un peu dans le train.
Coup de chance: le TGV fait un arrêt prolongé, en raison d’une erreur d’aiguillage. Au bas mot 20 minutes de sommeil supplémentaire; je ne suis pas contre et je ne suis pas fâché contre la SNCF.
De toutes façons, la plupart des élèves est (ou sont ) en retard.

R.D. a fait plein de super-8 et la dernière série, où il ose enfin planter la caméra et laisser s’écouler de la durée, est vraiment très belle. Me fait penser à Beckett, dans Premier amour, ce « dialogue » (de mémoire): » Je lui répondit qu’elle pouvait venir, mais moins souvent. Le moins souvent possible. Pas du tout si elle pouvait, mais si elle ne pouvait s’empêcher de venir quelque fois que ce fût, du moins plus rarement, beaucoup plus rarement… ». A propos des mouvements de caméra. J’essaierai de retrouver le texte exact en rentrant et ferai les correction nécessaires.

Hier soir, dîner arrosé chez U. avec Y., C. et E.
U. chante en duo avec Julio Iglesias, Battiato et Bowie.
J’ai le droit de porter une chemise très chère de Pucci, qui lui vient d’un tournage. Elle n’a même jamais été lavée. C’est une chemise très très chère et je sens qu’elle me fait de la concurrence.
Emportée par le mouvement, E. décide d’organiser un dîner retour le 4.
N’arrive pas à dormir.
J’écoute sur France Culture une émission consacrée à Carol Wojtila.

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