Me réveille il n’y a pas longtemps d’une sorte de demi-sieste.
Je n’aurais pas du prendre du café chez H.F. hier soir, où nous étions allés dîner avec Y. En fait, nous lui avions proposé de l’inviter à dîner chez lui et c’est donc nous qui avons préparé le repas. N. est rentrée un peu plus tard et s’est jointe à nous.
Bref, c’est bien fait pour moi: pas fermé l’oeil de la nuit.
On les sait ces choses là pourtant.
Alors je suis parti tôt faire un saut au bureau pour récupérer le powerbook.
Les rues sont belles et vides.
Il fait froid et j’ai remonté le col de mon gilet jusqu’au nez. Un vent glacé.
Pas un chat.
Je passe déposer le décamètre emprunté hier à Y. à la pâtisserie en face de chez elle puis retour au Pré Gervais et je m’endors, ou du moins j’essaye, en écoutant William Sheller. Belle voix et des mélodies accrocheuses. Textes parfois faibles et arrangements dégueulasses.
Hier M.S. au bureau pour planning et déconnage sérieux.
Puis revisite de la rue Poulet. J’ai fait un relevé au décamètre.