PENDANT QU’IL EST TROP TARD

C’est un peu le dernier carat.
En réalité, nous sommes déjà demain. Il est 1h08. J’ai manqué ce jour.
Ce jour a manqué, c’est bien dommage mais c’est samedi, seigneur, et il y a les enfants.
La présence absorbante des enfants.
Les cris de joie stridents.
Ca fatigue à force.
L’on se met en régime minimum. L’on regarde des choses et l’on essaye des trucs.
Passage rapide à l’exposition collective où T.M. montrait une pièce, rue Pastourelle.
Mais, toujours question d’enfants, parce que L. doit arriver à la maison et qu’il faut aller faire les courses à la supérette chinoise de la rue au Maire, nous devons courir. On ne peut pas attendre T. Nous faisons des photos pour prouver que l’on était là et nous partons précipitamment.
Beaucoup de vols de drone aujourd’hui.
Les filles s’en sortent bien. Sensations forte.
Je joue à leur faire peur avec le drone.
Elles se cachent toutes dans le lit et le drone vient raser les draps.
Je ne peux guère plus. Fatigue.