RENTRÉE DES CLASSES

Ca y est, je suis dans le train en partance pour Dunkerque à 7h46.
Me suis endormi comme une masse, avec mes deux Tramadol® et ce matin, réveillé comme une fleur vers 4h30. 
C. se réveille à 5h et reste debout jusqu’à mon départ vers 7h.
Impossible de faire en sorte qu’elle se recouche.
On prend notre petit déjeuner, on regarde des films, je prépare ma valise.
Le soleil se lève.
Il fait chaud dans le train.

TREMBLEZ MIROIRS

Damned, l’auberge de jeunesse était archi-complète.
Il faudra m’y prendre une semaine à l’avance désormais, on entre dans la mauvaise saison.
Du coup, je descends au B&B’s, qui coûte une fortune pour un confort certes supérieur mais qui ne vaut pas le quasi triplement du prix.

Bon. Too bad.
Il faut que j’en mette un coup sur le sound-design des deux films à rendre en début de semaine. Le confort et la bande passante sont donc les bienvenus.

Le cours de ce matin, un peu mou, à part M. toujours motivée dès qu’il y a de la musique dans l’air. D’une part, il y a toujours pratiquement une moitié d’étudiants absents – mais il y a des stages, des trucs, etc. – d’autre part, ceux qui sont là sont beaucoup en attente d’être divertis et peu en situation de proposer quoi que ce soit. Alors je m’ennuie un peu, c’est-à-dire que je fais le technicien de service et que je propose des trucs alors que je préfèrerais que ce soit eux. Mais bon, c’est normal. C’est pas grave. 

Feuilleton Fillon en mangeant mon menu n°3 au Tokyo.
Hahaha, j’ai envie de dire.
Si il se retirait, Macron aurait au moins une chance de faire un meilleur score que Le Pen. Ce serait moins honteux. Mais bref…
Du côté Trump, c’est maintenant Jeff Sessions qui va sauter, on dirait.
Chaque jour apporte son lot de plaisirs et de consolations.

Après midi, Y. et Y.
D’abord Y. avec des story boards de films poétiques, qu’il s’agit de mettre à l’épreuve du tournage et puis Y. avec une idée d’installation vidéo-projections et miroirs, qui, à mon avis, se scinde en deux projets, dont un réalisable pour la semaine prochaine (vernissage le 10) et l’autre pour dormir dessus un moment.
Mais je dis ça.

Et voilà, tout ça prend trois heures et demie.

C’est fou comme ça file quand on regarde des extraits de Tarkovski.

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