
Les deux derniers jours de l’année à Nantes, avant les grandes vacances.
Il fait chaud, mais pas trop.
Juste bien, en fait. Il faisait même un peu frais ce matin à cinq heures.
Sommeil fait de rêves rébarbatifs, de séquences récurrentes, de ruminations mathématiques.
Quand ça sonne, c’est soulagement et sueurs froides.
Ce n’est pas la foule, c’est tranquille, dans le grand amphi. C’est cool. C’est calme. Il y a des départs à la retraite et l’annonce de recrutements imminents. On s’organise. On discute. De la douceur en toute chose, prône R.L-M. De la douceur.
J’avais grignoté toutes sortes de nourritures terrestres à l’anniversaire de S. hier, donc je n’avais pas pris de petit déjeuner ce matin. et je me sentais léger.
J’avais enfin terminé la biographie de Lynch et je me disais: « hum, tout ça pour ça ». J’en avais profité pour revoir les premiers épisodes du troisième volet de Twin Peaks dans le train, en partie pour identifier certains acteurs, en regard des récits faits dans le livre.
En fin de journée, nous étions allé visiter des ateliers aux petites écuries puis j’étais rentré à pied dans mon Air B’nB et j’avais tout de même pris la décision de dîner copieusement d’un steak tartare et d’une pinte d’IPA. Demain matin, café et zou, aux réunions.
Coup de fil de L.N. à propos d’un film pour la réunion des Musées Nationaux. Il faut enregistrer une voix et faire le sound design pour la semaine prochaine. J’appelle Z.A. pour booker le studio lundi matin prochain.
Conversation avec P.G., qui me dit que je ferais mieux de laisser les commentaires ouverts, dans l’idée qu’il puisse laisser un signe et donc, tiens, je vais m’en occuper derechef.
Et puis dodo.