Pas d’image: l’appareil photo est en panne.
Alors que je filmais H. JC. et X.Y. à la bibliothèque jeudi matin, il m’affiche sans arrêt: « veuillez éteindre et rallumer l’appareil ».
Retrouver la facture, le mettre en réparation.
Heureusement, W.C. m’envoie un mail pour le nouvel an chinois avec cet autoportrait qui se révèle dans le monochrome rouge, lorsqu’on en triture les niveaux dans Photoshop®.
H.D. m’écrit pour me demander si j’en ai marre d’être du nougat glacé.
Un peu que je réponds. Mais pas assez pour renoncer à en être sur le champ.
C’est pas mal d’être du nougat glacé, finalement.
S. était là pendant deux jours.
Elle avait apporté des chocolats.
J’en ai trop mangé jeudi soir mais je suis allé faire de la gym vendredi.
S. est repartie à l’aube ce matin.
Nous sommes allés voir le Oliveira, qui ne passe plus que deux fois par semaine, une fois au MK2 et une fois au Reflet. Nous tombons sur E. et M.
Et, alors que nous nous restaurons dans un petit Yakitori de la rue Monsieur le Prince, je sens que je suis en train de tomber malade de nouveau.
Du coup, j’appelle N. pour la prévenir que je n’irai pas à la fête du nouvel an chinois.
On passe par la pharmacie et au lit avec le bouquin de Yu Hua, que j’ai quasiment fini.
Y. a fait de la soupe.
Ca va mieux. Normalement je devrais éviter la maladie.
Ce matin, commencé la confiture de T., celle qu’il avait mise dans mon sac lors de mon passage éclair à Tours. J’avais oublié cette confiture. Elle est bonne.
F.KX. me demande si je serai à Lille demain, pour la fête du nouvel an mais non je n’y serai que lundi.
Z.L. me demande si je connais un bon restaurant pas cher pour manger des escargots.
W.C. m’apprend que lui et Z. font maintenant profession de conseillers en habillement. Cela consiste apparemment à aider leurs clients à choisir des vêtements adaptés aux situations auxquels ceux-ci se trouvent confrontés. J’ai hâte d’en apprendre plus sur cette étrange pratique.