Tatouages et métablog

A 15h je prends le train de Cormillères direction Argenteuil, pour aller tourner le film de H.D.
C’est drôle ces trains franciliens. Tout est plus petit que dans les autres trains. Par exemple, les sièges sont plus étroits et on touche les genoux de la personne assise en face. J’imagine l’angoisse aux heures de pointe. 

Ce matin j’avais oublié le rendez-vous à la Casden. Reporté au 26 mai. Puis j’ai l’impression d’avoir perdu mes clefs. Il me faut quinze minutes pour les retrouver, pendant lesquelles je m’imagine affolé, devoir appeler d’urgence un serrurier, prévenir toutes les personnes et sociétés dont j’ai la clef, etc… En fait elles sont sur le tabouret de la cuisine que j’avais glissé sous la table, avec le courrier.

Passage éclair au bureau, le temps de terminer le dossier THECIF et de le poster. N. est désespéré par les informations et sérieusement remonté contre Bush. Nous allons boire un café, puis je fonce à Saint-Lazare. H.D. est venue me chercher à la gare. Nous filons à l’atelier. C’est gigantesque. Après avoir bu un café au soleil sur la terrasse nous nous mettons au travail. Il faut que je parle d’une photo qui représente un monsieur torse nu et tatoué sur tout son corps.

Ensuite, nous tournons une première bobine du Métablog, qui est un film (ou peut-être pas seulement) sur le fait de tenir nos blogs. Conversation d’une heure sur la terrasse.

Nous rentrons à Paris en voiture. Pendant qu’H. va se changer je repasse en coup de vent au bureau prendre mes affaires, visionner un peu de ce que nous avons tourné et faire un planning de travail avec N. pour la bande-son de la fondation bibiche. Ensuite nous allons dîner dans un restaurant indien du passage Brady (Le Cashmire, juste à l’entrée). H.D. s’est fait piquer son téléphone portable dans le métro.

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