NUAGES BLANCS

Il fait un peu plus frais au réveil. Les oiseaux étaient en retard: le jour n’avait pas l’air d’être là et pourtant si, mais nuageux, plus gris, plus diffus. Tant mieux pour mes coups de soleil, qui ont le temps de s’apaiser un peu. Obligé de retourner au Praz pour échanger la plaquette de beurre que j’avais achetée hier (date limite: 05 juin 2004, c’est un peu court).

Je suis un petit peu déçu de constater que le raccourci sert aussi aux voitures et n’est plus aussi ombrageux, frais et secret qu’autrefois. Du coup, est-ce encore un raccourci ou faut-il l’appeler « itinéraire de délestage » ? D’ailleurs il y a trop de voitures.

Moi qui n’ai jamais eu une passion pour les chevaux – et même parfois une sorte d’aversion – aujourd’hui ça me dirait bien de faire tous mes déplacements dans la région à cheval, plutôt qu’à pied ou en voiture. Mais ce qui me fait reculer c’est l’idée de devoir porter une bombe.

J’admire le jardin et le potager des A.
A midi nous mangeons du poisson carré, des tomates provençales et des pommes de terre sautées.
Un peu de travail sur les sous-titres de Polyeucte, pas mal de guitare et de farniente.
Quelques coups de fil. Banque, notaire, etc…
Vers cinq heures, nous allons jouer dans la chapelle du village avec J-P. Mais, erreur de manipulation dans garageband: j’ai perdu tous les fichiers sauf le dernier enregistré.

Nous essaierons de remettre ça samedi.

P. nous fait une délicieuse soupe aux légumes autour d’un os de jambon.
Après le dîner un peu de sous-titres et au lit avec Marcel.

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