Et ça marche enfin, la ligne ADSL 15 mb/s. Et la télé ADSL. Et le téléphone ADSL.
Bon. Du coup c’est la fête au téléchargement (saison 5 des Soprano, saison 4 de Six feet under, plus un paquet de films). Ce qui provoque parfois une surcharge de travail de lecture/écriture sur le disque avec risques de plantage. J’ai eu chaud: failli perdre tout le travail de ce matin. Vivent les fonctions d’enregistrement automatique. J’avance lentement. Page 35 (fin août). H.D. et J.W. écrivent à la chaîne. Je m’octroie une pause blog avec un café.
Il fait sacrément froid, entre parenthèses. Ca doit jouer. S’activer les phalanges pour ne pas geler sur place est une ressource non négligeable. Ca m’a fait une drôle d’impression de regarder un peu de télévision. On ne sait pas vraiment comment ni à quoi s’accrocher. C’est comme de demander à une horde barbare de venir vous envahir. Drôle d’effet. Mais il y a un certain plaisir à se laisser envahir, c’est évident.
Je rêve de pouvoir m’allonger avec un bouquin mais hélas ce n’est pas pour aujourd’hui. Je rêve également de sortir me promener longuement avant d’entrer dans un musée ou une salle de cinéma. Mais ce n’est pas non plus pour aujourd’hui.
Aujourd’hui c’est travail, terminer le scénario de l’ACR et surveiller la daube qui mijotte depuis hier.
Rêvé que j’assistais à un cours de Deleuze au cours duquel il nous distribuait des queues de crocodile huileuses. Ma voisine, à qui j’exprimais des réserves – je ne voulais pas lui passer, pour s’essuyer les mains, un kleenex dans lequel je m’étais déjà mouché – me repprochait de n’être pas naturel et décidait de ne plus me parler.
Aujourd’hui, j’ai juste un peu rallongé avec du Cairane pour éviter la déshydratation. C’est intenable ce que ça sent bon. Je grignotte des cacahuètes, en attendant.
Bon. La pause a assez duré. Il faut que je retourne au travail.
Encore un petit café ?
Dépenses
Pain: 1,00 €
Vin (Cairane 2002): 6,40 €
Pâtes, pommes: 3,20 €